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 A cœur ouvert [Isobel]

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Adrian Blackthorn




Quatre mois, quatre mois que je côtoie Isobel plus que d’Habitude. Elle a déjà accepté de signer un contrat avec moi. Celui d’être à moi lors de séance de soumission psychologique. Des séances qui ont pour but de nous être agréable tout en jouant avec ma patience et sa fierté. Mais il y a quelques mois, les doigts de la démone m’ont effleuré alors que nous discutions en toute innocence et depuis, je cherche à comprendre cette sensation que j’ai ressentie. Un Frison de plaisir, des fourmis dans le torse, bref je cherche encore ce que cela veut dire.

Ce soir, je suis assis dans un des canapés de la confrérie, je fume une cigarette avec un de mes frères de clans quand je reçois un sms. Je dégaine mon téléphone et je souris en voyant le sms d’Isobel. Elle a rempli sa mission. Elle va marquer des points au pré de mon frère. J’ai donc répondu à son gif avec un démon d’une série qu’on regarde ensemble. Car oui, en plus de la soumettre chez moi, il m’arrive d’aller chez elle regarder des série en tout bien tout honneur.

Je range mon téléphone et j’allume la télévision afin de voir le résultat du plan de mon démon de grand frère. Je souris sadiquement en admirant le boulot avec le démon qui siége à mes côtés. Une fois le show terminé, je ne peux que ressentir une profonde fierté en moi. Je ne serais pas l’expliquer. Je ne suis pas fier de la confrérie… Je suis fier d’Isobel. Personne ne lui dira, mais elle a pourtant créé la base du show afin que les autres puissent assurer derrière. J’écrase ma clope et je me levais en jetant la télécommande à mon ami. Puis je me dirige vers la salle où se trouve Isobel. J’attends qu’elle soit seule pour ensuite passer à côté d’elle en lâchant un.

« Suis-moi. »

Discret et rauque. Je la laisse me suivre dans une salle éloignée où nous seront tranquille et lorsque je ferme la porte derrière nous, je n’allume pas la lumière, je me contente d’allumer mon briquet et de mettre le feu à quelques bougies qui trône comme dans beaucoup de salles de la confrérie. Sous cette lumière tamisée, je m’approche d’Isobel et je lui souris.

« Beau boulot Bel… Je suis fière de toi. »

J’avais cette voix lourde comme lors de nos séances, sauf que nous ne sommes pas chez moi et les règles sont clair, pas de domination en dehors de chez moi. Je passe doucement une de mes phalanges sur sa joue et je murmure.

« J’ai adoré le show à la télévision. »

J’avais de nouveau cette sensation dans le ventre, une sensation que je n’arrivais pas à décrire. Je fixe alors la démone du regard et sans prévenir, j’approche mes lèvres des siennes. Je les colle alors doucement aux siennes lui offrant un bref baiser chaste. Je recule ensuite mon visage et je murmure.

« Ça fait un moment que je veux t’en parler. Ça fait quatre mois qu’on se rapproche. J’aimerais savoir ce que tu ressens quand tu es avec moi. »

Bizarrement a peine ces paroles prononcées et je me sens déjà mal. Comme l’impression que je vais tout gâcher. Je me connais, je sais que si elle me dit non je vais jouer mon capricieux, je ferais tout pour l’avoir quitte à lui faire du mal moralement…



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A coeur ouvert
Mission accomplie... En somme, ce n’était pas tant complexe que cela, juste long. Celui ou celle qui pensait qu’un simple clic pouvait déclencher ce genre de choses... était un idiot ou bien une personne qui connaissait un très bon programmeur qui avait préparé son code en amont. Pour ta part, tu étais une douce procrastinatrice. Ainsi... Tu avais fait la chose sur le tas, dès qu’il te l’avait demandé. Tu étais dans les délais et tu avais respecté tes engagements donc... tant que le travail était fait, pouvait-on te faire la moindre réflexion ? Pas vraiment. De toute évidence... Tu n’attendais aucune reconnaissance pour ce que tu avais fait. Le boulot accompli était un travail de l’ombre... La comédie burlesque qui avait été effectué demeurait bien plus parlante que ce que tu avais fait. Et ce n’était pas plus mal, tu n’aimais pas être sous les projecteurs.
Néanmoins, tu n’avais pas pu t’empêcher d’envoyer ce petit gif à Adrian, cela faisait quelques mois que tu entretenais une relation...amicale ? Avec lui... Pour dire vrai, tu savais qu’il ne s’agissait pas d’une relation saine. L’amitié homme/femme existe certes mais... il fallait que les deux parties soient totalement honnêtes l’un envers l’autre et surtout... qu’il n’y ait aucune attirance, ce qui n’était pas le cas. Plus le temps passait, plus tu constatais que ton regard envers lui changeait... A l’époque, tu le toisais normalement mais dernièrement, tu te surprenais à le dévisager différemment... Quand tu regardais cette série avec lui, il t’arrivait parfois de lui attraper le bras pour l’enquiquiner. Tu ne faisais pas ça avec d’autres gars... Tu n’avais jamais été vraiment tactile, du moins... pas sans intention... Là, tu avais juste envie de sentir sa peau contre la tienne. Les jeux avec lui étaient ton moyen de pouvoir profiter du contact de ses doigts sur ton corps. Bon clairement... tu ne te leurrais pas, t’en pinçais clairement pour lui. Mais c’était pas une bonne idée... Il fallait que tu réfrènes les sentiments qui commençaient à t’envahir.

Après avoir reçu ton petit gif de réponse, tu souriais fière de toi. Puis tu venais finalement à lever la tête quand tu le vis entrer dans la salle de pause. Il te demandait de le suivre... La voix qu’il avait à cet instant, tu la reconnaissais... Inclinant la tête intriguée, tu le suivais donc sans te poser plus de questions. Du moins, tu restais silencieuse.
Une fois dans une salle que tu trouvais bien éloignée... Tu arquais un sourcil alors qu’il allumait des bougies. Était-ce la première transgression du contrat qui allait suivre ? Car là... tu avais l’impression qu’il s’apprêtait à commencer votre jeu... Il te félicitait pour ton travail, tu haussais les épaules avec nonchalance en souriant avec amusement

« Oh, tu sais... Je suis pas celle qui a le plus donné d’elle dans ce show. Mais merci, ça fait toujours plaisir. »

Humble ? Non, tu ne cherchais pas à recevoir plus de compliments. Ça ne servait à rien, tu faisais quelque chose de si simple pour toi que tu estimais que des félicitations, n’étaient clairement pas nécessaire. Sa phalange venait finalement caresser ta joue et il murmurait... Tu demeurais immobile. Il fallait que tu restes calme... il ne fallait surtout pas lorgner sur ses lippes ni démontrer ton potentiel intérêt... Et... tu fus perplexe. C’était comme s’il avait empoigné tes poumons pour mieux les serrer de sa prise virile tandis que ses lippes se pressaient contre les tiennes. Putain, non... non... Il ne fallait pas qu’il fasse ça.. Ce simple baiser chaste eut l’effet d’une bombe dans ton esprit. Ton cœur battait la chamade... Puis il vint finalement à te demander ce que tu ressentais pour lui.

« Je croyais qu’on avait été clair ? Pourquoi poser des limites pour finalement les franchir ? »

Riant nerveusement, tu pinçais tes lippes avant de prendre une légère inspiration, puis tu soupirais longuement. Relevant les yeux pour le regarder fixement, tu lui offris un léger sourire avant de secouer la tête en haussant les épaules.

« Je ressens beaucoup de choses quand je suis avec toi. De l’amusement, l’envie de t’enquiquiner, le désir que tu me domines et je passe de très bons moments avec toi. Mais... Faut pas oublier notre contrat, Adrian. Tu avais bel et bien précisé domination mais pas de relations charnelles. »

Peur ? Ouais... Tu avais peur. Mais le montrais-tu ? Non. Tu gardais ce sourire malicieux qui t’était propre. Venais-tu de le recaler ? En quelque sorte... Tu lui rappelais juste les limites qu’il avait fixé lui-même. C’était une bonne excuse... ça t’évitait aussi d’être une dégonflée... Si ça ne tenait qu’à toi... Si tu laissais tes pensées prendre le dessus, tu l’aurais déjà plaqué contre un mur pour l’embrasser langoureusement... Mais nan, tu ne voulais, tu ne pouvais pas te permettre... Et si...et s’il était déçu ? Si jamais il avait des regrets ? Ces mois passés avec lui se dissiperont et tu te retrouverais de nouveau seule et sans attaches... Sincèrement, tu n’étais pas prête à ça. Tu arrivais à te contenter de ce que tu avais, tu n’en demandais pas plus. Par peur ? Plutôt par lâcheté...

« C'est pas une bonne idée. Tu le sais très bien. J’ai pas spécialement envie de passer pour la démone qui a écarté les cuisses pour gratter un peu de ton argent ou de ta notoriété. »

Des paroles sincères mais qui avaient été dis avec un calme olympien alors que mentalement, ça t’arrachait la gorge de lui dire ça. Tu le voulais, tu le désirais mais... tu le méritais pas.

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Ce frison, ces fourmis dans le corps, je les avais ressentis à nouveau lors de ce chaste baiser. Je l’avais aussi senti plusieurs fois ces derniers mois quand elle me touchait le bras en me taquinant. Je commençais donc à me dire que ce que je ressentais pour cette démone allait bien au-delàs de la simple amitié. Lorsque je romps le baiser, je lui parle, je lui demande de me dire ce qu’elle ressent quand elle est avec moi.
Mais sa réponse me brisa le cœur. Moi Adrian Blackthorn, je viens de sentir l’effet de la déception lorsque l’on s’attache. Je ne laisse rien paraître sur mon visage, mais je me mords la joue de l’intérieur. Les limites étaient là juste pour notre jeu. Oui, quand nous sommes en séance, il n’y aura pas de sexe, de tendresse ni même de sentiment, car je tiens à ce que tout se passe avec son consentement, il est hors de question qu’elle me donne son corps en séance juste pour ne pas me vexer. C’est pour ça que j’avais établi cette limite en fait.

A la fin de sa phrase, je me recule d’un pas pour la laisser respirer, mais aussi pour éviter de m’énerver et de me laisser embarquer par mes sentiments. Malgré tout, je continue de la fixer du regard et je l’écoute ajouter une dernière chose.

Je gronde en fronçant les sourcils, car cette fois, ses mots m’avaient attend encore plus que prévus. Je réponds alors en crispant ma mâchoire.

« T’es sérieuse ? Tu viens me parler de limite et de contrat Isobel ? Ce contrat n’a d’effet que chez moi. Mon côté dominant n’a lieu que chez moi. Là, je suis devant toi, je suis Adrian celui qui depuis des mois tente de te montrer ce qu’il est au fond de lui-même. Tu es sûrement là seule au monde à m’avoir vue en dehors de ce que je laisse paraître au quotidien. »

Elle pouvait sentir dans ma voix que je n’étais clairement pas heureux de sa réponse. Je plaque alors mes deux mains de chaque côté du visage d’Isobel contre le mur et je pose mon visage à quelques centimètres du sien. Le regard sombre, je murmure d’une voix morne.

« Quant au fait que tu as écarté les cuisses. Crois-tu vraiment que l’avis des gens m’intéresse ? Je sais ce que tu es et tu n’es pas ce genre de fille. »

Je gronde encore en serrant mes poings contre les murs m’appuyant dessus alors que mes longs cheveux encerclent mon visage.

« Ce baiser… Je ne te l’aurais pas donné si je n’avais pas envie d’être plus pour toi qu’un frère de clan. Alors ne viens pas me parler de contrat Isobel. Qu’est-ce que toi, tu veux ? Car là, c’est toi que je veux moi et pas juste nue chez moi. Nos moments à deux m’ont plus et je veux t’offrir bien plus que quelques moments discrets devant une série ou dans un resto. »

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A coeurt ouvert
Sincèrement... Te doutais-tu qu’une telle situation risquerait de t’arriver ? Que l’homme que tu désirais aller te demander ouvertement ce que tu voulais... Non. A vrai dire, tu l’avais toujours perçu comme un mur infranchissable, un fantasme qui jamais ne se réalisera... Et pourtant, il était là. Devant toi. Et il t’avouait ouvertement son intérêt pour toi. Mais s’agissait il d’un véritable intérêt ? Ou bien une simple lubie ? Au plus profond de toi, tu savais qu’il n’était pas n’importe qui...et qu’il ne faisait pas n’importe quoi. Il choisissait scrupuleusement ses contacts et tu ne l’avais jamais vu au bras d’une femme hormis l’autre Russe... Donc... Doutais-tu de sa sincérité ? Absolument pas. Mais il y avait bien un facteur qui te faisait peur, un seul et unique facteur : sa famille. Il était pleinement dévoué à celle-ci, c’était honorable de sa part mais... Tu te souvins de ce qu’avait été capable de faire ton grand-père car il estimait que ta mère n’avait pas choisi le bon homme... Qu’est-ce qui pouvait t’assurer que ce ne serait pas ton cas également ? Qu’est-ce qui te garantissait que tu ne te ferais pas tuer par l’un des membres de sa famille parce que tu serais trop imparfaite ? Rien, hormis potentiellement sa parole. Mais il ne serait en aucun cas responsable s’il devait t’arriver quelque chose, pas vrai ?...

Cette boule que tu avais dans le ventre, cette douleur qui t’envahissait dans ta cage thoracique... Pourtant, tu ne bronchais pas. Tu le regardais droit dans les yeux et tu ne les baissais pas. Le grondement qui suivit... puis la crispation de sa mâchoire et enfin...ses deux mains se plaquant de part et d’autres de ton visage, tu vins à sursauter légèrement. Tu pouvais sentir sa respiration à ton oreille. Tu sentais la tienne bien rapide mais tu parvenais à la tempérer en prenant une grande inspiration interne avant de répondre.

« Adrian. Je ne suis pas une princesse de contes de fée. Je ne sais pas ce que c’est que d’avoir une véritable relation. Tous mes ex ? C’est moi qui les ai largué. Parce qu’ils m’ennuyaient et qu’ils me demandaient toujours trop de choses. Je ne suis pas digne de tes sentiments. Et la seule chose qui risquerait d’arriver si on va plus loin, ce serait que je te brise véritablement le cœur. Tu mérites mieux que ça. Je t’apprécie assez pour vouloir t’épargner ça. »

Tournant doucement la tête, tu plaçais ta main sur son ventre, gardant ton visage impassible bien que cela était des plus difficiles pour toi. Tu ajoutais finalement en riant faussement.

« Et si c’est pour au final perdre le lien qu’on a déjà tissé... ça ne m’intéresse pas non plus. Je préfère encore ravaler mes hormones plutôt que de tirer un trait sur ce qu’on a déjà. Et puis... si c’est pour que ton frère ou ta sœur veulent ma peau, ça m’intéresse encore moins. »

Tu n’étais pas dupe... Tu savais très bien que Katel et Jared n’hésiteraient pas à se montrer très vicieux si tu avais le malheur de briser véritablement le cœur de leur frère... Car il s’agissait là d’un simple refus d’aller plus loin... alors si jamais... tu avais accepté et que la relation s’était mal terminée, aurais-tu cette même clémence ? Tu en doutais fortement.

« Restons amis, ça vaut mieux pour toi comme pour moi. »

Après une telle chose, tu ne t’attendais pas à ce que le démon accepte de se faire toucher donc... Tu te contentais de te faufiler en dehors de ses bras en te baissant, puis tu te dirigeais vers la porte... Tu savais qu’il était pris par ses sentiments et qu’il avait une certaine forme de colère, il fallait que tu lui laisses digérer cette information...  

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J’avais bien remarqué son sursaut face à mon comportement. Elle avait peur de moi ? Depuis quand ? Je ne l’avais pourtant jamais malmené.

Elle répond alors à mes interrogations et soyons honnête, ses mots ne me plaisent pas. Pourquoi se dénigre-t-elle encore ? Et qu’est-ce que ses ex viennent faire ici ? Je ne crois pas être le genre de personne avec qui on s’ennuie. Je l’écoute en la fixant du regard mes poings serrés contre le mur alors qu’elle fait des miettes de mon cœur.

Elle me parle ensuite d’hormones, de ma famille. Je sens l’agacement monter, car au fond de moi, je sais ce qu’il se passe. Elle aussi elle veut la même chose que moi, sauf qu’elle se met elle-même des barrière. Elle se prive de vivre un rêve auquel elle a la droit. Je continue de l’écouter alors que je bous de l’intérieur. Je me mords la lèvre inférieure près à exploser. Mais je me contiens. Je lui fais déjà peur de base, car je crois que c’est ça le souci. Je suis un Blackthorn et elle à peur de ce nom. Jared et Katel lui font peur et je n’ose pas imaginer ma mère qui est sûrement plus vicieuse que nous trois réunis. J’ouvre la bouche pour répondre, mais là, mon cœur explose, ma gorge se serre. Restons amis… Elle ose réellement me dire ça ?

Elle profite de mon silence et du fait que je sois perdu dans ma tête pour se faufiler et s’extirper de mon emprise. J’entends la porte se fermer, me voilà seul… Seul face à ce mur. Ce mur que je regarde, mon regard sombre se fixe sur le béton du mur et d’un coup, je tape ma tête violemment dessus m’écorchant l’arcade sourcilière en poussant un cri de rage. Je venais d’évacuer ma colère et ma frustration d’un coup. Un filet de sang perle du dessus de mon œil jusqu’à ma joue. Je marmonne alors d’une voix sombre.

« Sale, petite menteuse… Je vais les faire sauter tes obstacles. »

Je souffle sur la bougie et je quitte la pièce en direction chez moi. Je m’enferme alors dans mon appartement pour soigner mon entaille. Et je décide de mettre une stratégie en place. Elle ne veut pas de moi ? C’est ce qu’on va voir. Je ne suis pas un de ses stupides ex, je sais qu’elle veut la même chose que moi.

Je récupère donc ce qu’elle avait trouvé sur le fiancé de la Russe et je balance l’information de façon anonyme. Dès le lendemain, ça fait les gros titres, le fiancé de l’héritière Russe blanchit de l’argent, le mariage est annulé. Devinez qui est là pour remonter le moral et sécher les larmes de la jolie blonde ?
Il ne faudra que deux semaines pour que les médias commencent à parler du rapprochement entre la Russe et moi. Dans la réalité, il n’y a rien pour le moment, je réussis à garder les distances et à esquiver ses envies de me bondir dessus. Mais dans la presse à scandale, c’est tout autre.
Je ne perds pas de temps pour contacter Jared , Katel et ma mère afin de leur explique que ce n’est que la presse qui s’enflamme, qu’il n’y a rien entre elle et moi. Enfin ça, c’est ce que je dis à ma mère. Jared et Katel, je leur demande de me prévoir un verre en terrasse avec eux afin de leur parler de quelque chose d’important pour moi. Je sais que je vais aussi devoir en parler à ma mère. Mais tant qu’elle ne se rend pas compte de l’état de mon cœur, je préfère ne rien lui dire. Seul Jared et Katel seront au courant car… Je compte bien leur demander un coup de main pour me permettre d’avoir ce que je convoite.




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