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 « Un remplacement hâtif » [Feat Adrian]

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Un remplacement hâtif
Un mois s’était écoulé depuis l’aveu d’Adrian... Pendant quelques jours, tu n’eus pas vraiment de nouvelles. Il faut dire que tu avais utilisé des mots durs pour le dissuader. Le fameux “on reste amis” était assez violent à entendre surtout quand la personne en question avait eu le courage de dire ce qu’elle ressentait. Malgré les regrets que tu pouvais avoir... C’était plus simple pour lui comme pour toi... Il ne fallait pas que votre relation change, c’était beaucoup trop de problèmes à venir. Sa famille te faisait flipper et tu n’appréciais pas particulièrement Elizabeth donc... Il n’y avait pas de réels intérêts à aller plus loin... Il tenait beaucoup trop à sa famille pour que tu puisses te permettre de lui infliger ça.

Néanmoins... Tu eus le droit à quelques messages de temps en temps, tu avais fait comme si de rien était. C’était plus facile ainsi, n’est-ce pas ? Toutefois... Alors que tu naviguais sur internet, tu pus voir quelque chose qui te déplut drastiquement... Les presses à scandale semblaient s’échauffer en disant que le fameux Adrian Blackthorn avait trouvé sa dulcinée... La fameuse russe... Levant les yeux au ciel, tu te disais que ce n’était que des torchons de plus, les journalistes ne faisaient lire que ce qu’ils désiraient faire croire. Il n’y avait aucune preuve tangible dessus.
Après deux bonnes semaines à lire ces conneries, tu préférais t’arrêter là et ne plus trainer sur le pc toute seule, tu te rendis à la confrérie. Au moins, cela allait te permettre d’avoir un milieu un peu plus appréciable plutôt que de te monter la tête avec des faits infondés basés sur des photos prises à la volée. Tu savais le démon très fort pour manipuler la presse... Mais alors que tu marchais en direction de ton bureau, tu pus entendre la voix de Katel... Celle-ci gloussait grandement et parlait au téléphone avec l’une de ses amies... Le sujet de conversation était limpide, il s’agissait d’Adrian... “Ah... Il semblerait qu’il soit bien parti pour la demander en mariage, ils forment un couple parfait, tu n’es pas d’accord ?”... Tes yeux s’écarquillèrent en entendant un truc pareil... Sérieux ? Il t’avait remplacé aussi facilement ? Ces sentiments qu’il semblait avoir, il les avait balayé aussi rapidement ? Pressant ton dos contre le mur, tu pinçais tes lippes avant de finalement partir. Non, tu voulais plus rien entendre de plus. Il fallait que tu digères ça...

Restant chez toi à te morfondre quelques jours, tu continuais d’éplucher les informations comme ton travail te le demandait au sein de la confrérie. Une soirée fut organisée par Adrian... Il n’y avait pas sa pouffiasse qui y participait donc... C’était une bonne occasion pour le voir non ? Il fallait que tu fasses semblant que ça t’atteignait pas... Ainsi, tu te préparais pour ce fameux soir et comment le dire... Tu te mis sur ton trente-et-un. Enfilant une belle robe de soirée noire, tu coiffais tes cheveux soigneusement, te maquillant de manière élégante mais de façon à ce que cela fasse particulièrement naturel et léger, des bijoux puis tu enfilais des sandales à talons noires. Une fois prête, tu te rendis sur les lieux.
Pour une fois... Tu ne passais pas inaperçu, tu avais su te mettre en valeur pour que l’on puisse te voir, tu désirais qu’on te remarque. Parvenant à entrer à l’intérieur sans grand soucis, tu te dirigeais vers le bar et tu demandais un cocktail sans alcool, il fallait que tu aies les idées claires. Commençant à boire ton verre tranquillement, tu fus accosté par l’un des invités. Celui-ci commençait littéralement à te draguer. Qu’il était lourd... Pourtant, tu pus sentir une présence démoniaque... Tournant la tête légèrement, tu pus voir Adrian. Lui adressant un petit sourire, tu lui faisais un signe de main. Démontrant à la fois que tu l’avais remarqué et surtout... que tu avais mis son bracelet également à ton poignet. Profitant donc du fait que tu l’avais vu, tu t’excusais auprès de cet invité insistant pour aller jusqu’au blond.

« Bonsoir Adrian, tu vas bien ? Il semblerait que oui. Mes félicitations pour... ta mise en couple avec la russe. Je ne pensais pas que tu avais des goûts aussi... variés. »

Façon de dire qu’il passait facilement du coq à l’âne ? Ouais... Une petite pique cachée mais clairement, tu n’étais pas du tout ravie mais tu n’allais pas te donner en spectacle. Tu l’avais donc salué avec un petit sourire mais... alors que tu t’apprêtais à lui proposer un verre, tu sentis une main se poser sur ta hanche. Arquant un sourcil, tu pris un air surpris avant de tourner la tête. Un autre homme un peu plus rentre-dedans semblait vouloir te proposer de t’offrir un cocktail. Il ne devait pas penser à mal, puisque la presse avait démontré qu’Adrian était déjà pris...
Bon... Tu ne pouvais pas véritablement l’envoyer bouler comme tu aurais aimé le faire, tu te retrouvais dans une situation très désagréable. Mais tu gardais le sourire et tu te contenais intérieurement afin de ne pas faire d’esclandre pour la soirée... Il fallait que tu te contiennes...Actuellement, tu avais juste envie d’attraper Adrian et l’embarquer dans une pièce pour lui dire le fond de ta pensée... Mais tu ne le pouvais pas. Cela entacherait sa réputation...

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Adrian Blackthorn




Un mois de mal-être, un mois à supporter le chaos dans mon cœur. Isobel aura au moins réussis une chose, je n’avais pas joué l’enfoiré depuis des années, comme-ci mon âge m’avait rendu plus discret dans mes méfaits. Depuis mon retour d’Espagne, j’avais pris Saori sous mon aile, je m’amusais avec les médias et ma pseudo-relation avec la Russe qui n’était qu’un canulard, mais qui amusait la blondinette. Elle voulait agacer son ex et moi, je voulais rendre Isobel jalouse. C’était donnant. Mais bien sûr il n’y avait rien entre la Russe et moi, elle se préservait pour le mariage et je savais que si je venais à lui ouvrir les cuisses, je risquais gros, elle s’attacherait à moi à coup sûr et je perdrais ma plus grosse cliente.
J’avais envoyé un seul message à Isobel en un mois. Un simple merci pour la mission qu’elle avait mener à merveille pour l’annulation des fiançailles de la Russe.

Bref je commençais à me remettre doucement de ma déception amoureuse, mes assistants avaient géré les organisations de soirées. Mais ce soir, j’avais décidé de gérer la soirée. Un truc simple, une bande d’humains qui voulait une soirée tripot, du poker, du whisky et une ambiance bar clandestin. Pour l’occasion, j’avais enfilé un pantalon noir de costume, une chemise blanche et un gilet de costume assorti. Mes cheveux coiffés en arrière, j’avais même rasé ma barbe de trois jours.
Tous se déroulaient à merveille. Accoudé au comptoir, je discutais avec un des barmans en buvant un whisky afin de vérifier que les stocks étaient au beau fixe.
Durant ma discussion, je sens un regard sur moi. Je tourne la tête et une douleur s’immisce dans ma poitrine. Mon regard souriant change et je pense le sourire. Isobel… Pourquoi elle est là ? Elle ne fait pas partie des invités. Je la vois me faire un signe de la main et je repère le bracelet que je lui ai offert. Pourquoi le porte-t-elle encore sur elle ?
Elle se dirige alors vers moi. Le regard sombre, la bouche clos et la mâchoire crispée, je la fixe d’un regard mauvais. Je lui en veux même si ce que je ressens pour elle existe encore.
Je réponds alors d’une voix sombre à sa phrase.

« Qu’est-ce que tu veux ? »

Je n’ai pas de réponse. Un des clients pose sa main sur la hanche d’Isobel. Il pensait sûrement qu’elle faisait partie de la soirée, mais ce n’était pas le cas. Une légère veine apparaît sur mon front signe que je commence à me tendre. Je fixe alors l’homme et je lui dis d’une voix calme.

« Retire ta main s’il te plaît. »

Un coup en trop dans le nez sûrement, il commence à me provoquer en me disant que fallait savoir partager. Je me penche alors vers lui et je plonge mon regard dans le sien en murmurant pour l’hypnotiser.

« Tu es fatigué, tu vas aller t’allonger sur les rails du train dans le centre-ville. »

Traduction , va te suicider du con.
Je claque ensuite le cul de mon verre sur le comptoir signe que je ne suis pas content et j’agrippe avec violence le bras d’Isobel que je traîne avec moi dans l’arrière-salle. Je le lâche violemment contre un mur alors qu’il n’y a personne vue que mon équipe bosse et je grogne sur elle.

« A quoi tu joues ? Tu me repousses et maintenant, tu viens me casser les pieds sur mes relations en portant ce putain de bracelet ! »


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Un remplacement hâtif
T’attendais-tu à un accueil aussi froid ? Hm... Pas vraiment. Pas à ce point pour dire vrai... Le fameux “qu’est-ce que tu veux”... Ah s’il savait... Tu désirais beaucoup de choses, notamment lui mais visiblement, il n’arrivait pas à comprendre que ton refus était à la fois pour te protéger mais aussi pour le protéger... Alors que tu t’apprêtais à lui répondre, tu fus importunée par un gars qui avait visiblement trop forcé sur l’alcool... Il était sérieux à venir te faire chier comme ça . Alors que tu étais sur le point de te laisser entraîner pour mieux qu’il te fiche la paix plus tard, Adrian vint à lui demander de te lâcher. Il ne semblait pas d’humeur à obéir et les ordres arrivèrent... Il venait vraiment de lui dire d’aller se suicider ?  
Clignant des yeux, tu te retrouvais attrapée par le bras et donc trainé jusqu’à l’arrière de la salle, puis il te lâchait violemment contre un mur. Légèrement sonnée, tu relevais la tête pour le regarder dans les yeux avant de rire nerveusement.  

« Te casser les pieds sur tes relations ? J’espère que t’es pas sérieux en me disant ça ? Tu m’avoues que tu m’apprécies et un mois après tu finis dans le lit d’une autre, excuse moi mais t’es visiblement passé à autre chose très rapidement. C’est plutôt à moi de me sentir en colère, pas toi. »

Serrant les dents, tu jouais nerveusement avec ton bracelet et tu soupirais longuement avant de finalement reprendre d’un ton beaucoup moins calme.

« Et puis si tu n‘avais plus envie de me voir, tu aurais dû me prévenir. Jusque là, t’as pas dis que notre contrat était caduc et tu ne m’as pas non plus dis qu’on devait plus se parler...  »

Prenant une grande inspiration interne, tu te souvenais encore des paroles de Katel. Tu sentais tes mains se mettre à trembler. La colère était en train de t’envahir à ton tour, ainsi tu le regardais alors que tes iris se teintaient de ce noir ébène significatif.

« J'ai entendu Katel... Elle a dit que tu allais potentiellement la présenter à ta famille... Je pensais pas que tu m’aurais remplacé aussi vite... C’est que finalement... les sentiments que j’avais pour toi, étaient peut être plus forts que les tiens. Parce que moi, j’ai pas sauté dans le lit de la première salope milliardaire qui passait dans mes contacts. J’ai eu tort de venir, t’as raison... j’ai plus rien à faire ici. »

Baissant les yeux et la tête, tu te dirigeais de nouveau vers la salle de service pour partir ni vu ni connu. Clairement, c’était une erreur...Tu sentais ta poitrine te faire un mal de chien. Visiblement, tu l’avais repoussé mais tu te sentais trahie... Tu lui avais brisé le cœur le mois dernier, il venait de briser salement le tien actuellement... Donnant, donnant... n’est-ce pas ? Mais au moins, tu lui avais dis ce que tu avais sur le cœur et il pouvait savoir que tu lui avais dis “non” mais que dans le fond, tu avais des sentiments pour lui...

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Adrian Blackthorn




J’étais furieux et ça, elle pouvait clairement le voir avec mon visage. Pour une fois, je ne cachais aucune émotion, je laissais tout paraître. Mon regard planté dans le mieux je crache mes mots avec rage. Elle me répond alors que c’est elle qui devrait être en colère, car après lui avoir avoué mes sentiments, je suis allé dans le lit d’une autre. Je comprends alors que mon plan médiatique avec la Russe a fonctionné à merveille.
Je ne montre pas mon plaisir face à cette révélation, mais je continue de l’écouter et je sens son agacement. Je recule un peu et je croise mes bras sur mon torse en l’écoutant.

Elle continue donc de me confier ce qu’elle ressent et là aussi, je vois que Katel a fait son boulot. Je vais devoir lui payer un restaurant en remerciement. A mon retour d’Espagne, j’ai expliqué mon plan à Jared et Katel et je comptais sur eux pour faire passer une rumeur comme quoi je m’étais trouvé quelqu’un. Katel avait donc bien géré le plan. La digne fille de notre père.
Je suis Isobel du regard alors qu’elle tente de retourner dans l’autre salle. Je lui agrippe le bras pour la retenir et je continue de l’observer le visage sombre. Si elle se tourne, je plante mon regard dans le sien. Au fond de moi, deux voix raisonnent. Lui dire que tout était un fake et que je voulais juste la voir jalouse, ou bien continuer dans le plan. Je pense alors à mon père et là, je décide de continuer.

« Je ne te dois rien, il me semble, Isobel. Je te voulais toi oui, mais tu m’as clairement fait comprendre que c’était non. Dois-je donc flatter ton sale petit ego de démone en faisant vœu de chasteté ? »

Mes mots étaient glaciale. J’aurais pus être tendre, doux et l’embrasser, mais non je voulais sentir son désespoir, sentir qu’elle pouvait me perdre à tout moment. J’ajoute alors.

« Quant à ton contrat, désolé, mais en ce moment non, je n’ai pas spécialement envie de jouer. Dans quelques mois, ça ira mieux. En ce qui concerne mon lit, oui j’ai décidé de m’amuser, mais faire abstinence en attendant que celle dont j’ai envie se décide à décoincer le cul ce n’est pas pour moi. Ton caractère m’a toujours plus, je pensais que tu avais un peu plus de courage Isobel. Que tu oserais bien plus quand tu veux quelque chose. Mais je me suis trompé… Tout ce que tu veux c’est qu’un mec salive sur toi et t’attende. «


J’étais infecte, elle m’avait sûrement déjà vue comme ça à la Confrérie, mais je n’avais encore jamais été aussi démoniaque avec elle. J’avais toujours été très bienveillant à son écoute, mais là, il était hors de question que j’accepte ses remontrances alors que c’est elle qui m’a repoussé. Je la met alors au défis.

« Tu veux de la domination Isobel ? Je vais t’en donner. Tu vas rester ici dix minutes. Dans dix minutes, tu sors et tu fais ton choix. Soit tu rentre chez toi et tu cesses de me casser les pieds avec ta jalousie. Soit tu me rejoins et accepte ce que tu ressens pour moi tout comme j’ai assumé les miens pour toi avant que tu ne me repousse »

Sans un regard de plus, je quitte la salle et je retourne dans la salle. Cette fois je m’assoit sur une banquette, un de mes employés m’amène un whisky et je profite de la soirée en tentant de penser à autre chose. J’imagine déjà Isobel se tirer par la porte de toute façon.




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Un remplacement hâtif
Alors que tu t’apprêtais à partir car ses paroles furent particulièrement claires, tu le sentis t’agripper le bras.  Fronçant les sourcils, tu tournais la tête vers lui et ses iris s’ancrèrent dans les tiennes. La suite de ses propos... ton regard se figeait sur place. La perplexité pouvait presque se lire sur ton visage. T’attendais à une telle déferlante ? Absolument pas. Pour le coup... tu sentis clairement ton orgueil se faire salement piétiner. Oui, ton égo prenait excessivement cher... oui tu te sentais encore plus coupable de lui avoir dit “non”. C’était donc ça ta punition ? En plus de la culpabilité, tu sentais cette pression dans ta poitrine, cette douleur qui te faisait sentir excessivement mal... Mais tu ne disais rien... Tu restais silencieuse... Te contentant de le regarder en étant presque bouche bée... Sauf que tes lèvres étaient bien refermées l’une sur l’autre...  

Voilà qu’il te disait qu’il ne voulait plus jouer, qu’il t’insultait littéralement de coincée... Pardon ? Coincée ? Parce que ne pas vouloir écarter les cuisses ou te lancer dans une relation, c’était être coincée ? Eh bien... tu devais sacrément l’être. Mais tu ne disais rien, tu ravalais ta rage mais tes iris en disaient long... ton corps entier hurlait de vouloir lui sauter à la gorge et l’insulter d’idiot. Mais ce qu’il vint dire à la fin... Il venait de balancer que tu étais une putain d’allumeuse ou tu avais rêvé ?
Et voilà qu’il te balançait un ordre maintenant... Alors qu’il quittait la pièce.  Tu restais là... Ta fierté t’ordonnait de partir et de lui dire d’aller se faire voir. Mais pour une fois.... Il fallait que tu sois honnête avec toi-même. Est-ce que tu avais envie d’assumer tes propres sentiments... Pinçant tes lèvres, tu grognais en enrageant mentalement. Mais pendant ce temps-ci.. Les minutes se suivirent et finalement... après avoir repris contenance... tu sortais quand le temps fut écoulé mais... tu allais le rejoindre. Allant jusqu’à lui avant de répondre assez bas pour qu’il soit le seul à t’entendre en t’asseyant sur la banquette à côté de lui.

« Je... J’ai toujours voulu être avec toi... Depuis le début, j’ai senti que j’éprouvais quelque chose pour toi... mais j’avais peur. »

Prenant une grande inspiration mentale, tu étais en train de te livrer à lui comme il l’avait fait avec toi avant... Mais cette fois, dans la discrétion. Mordant l’intérieur de ta joue, tu voulais poser ta main sur sa cuisse... tu en mourrais d’envie mais il était officiellement avec cette russe, si tu faisais ça... il risquait gros. Donc tu vins à ajouter calmement.

« Je... Je te demande pardon, Adrian. Je me suis comportée comme une lâche... j’ai pas eu le cran d’avouer et d’assumer ce que j’éprouvais pour toi... Je comprends que tu n’aies plus confiance et que tu veuilles que je te laisse tranquille après ça... mais je préférais que tu le saches avant... j’ai toujours eu un faible pour toi. C’est aussi pour ça que je suis venue t’emmerder à ta soirée...»

Un autre aveu. Oui, il te plaisait et il t’avait toujours plu. Mais assumer pleinement tes propres envies après avoir été autant déçue par les anciennes relations ? Très peu pour toi, tu avais vu ce que ça avait donné et dans le fond... C’était ce qui t’avait effrayé... qu’une fois qu’il aurait vu comment tu étais en relation amoureuse... tu avais peur qu’il te fuit.

« Je t’ai blessé... tu as bien fait de te venger en un sens... J’espère au moins qu’elle te rendra heureux... Au moins si tu as un naufrage, elle sera ta bouée de sauvetage. »

Tu avais dis cela en tenant ta robe même si tu l’avais prononcé sur le ton de l’humour, cela t’arrachait presque la gorge de le dire... Dans un sens, il t’avait dit d’assumer ce que tu ressentais, il ne t’avait pas sous entendu qu’il accepterait tes sentiments. Après tout, tu avais balayé ses sentiments... Il serait en droit de te briser le cœur à ton tour, tu l’aurais cherché, nan ?  


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Adrian Blackthorn




Les choses sont claires, Isobel à dix minutes pour prendre une décision qui va tout changer pour elle. Rentrer chez elle et me dire adieu à moi et notre relation qui n’avait pas encore de nom, ou bien venir me voir et s’engager dans quelque chose qui la dépasse.
Assis dans une banquette, j’observais la soirée, je gardais un œil professionnel et par moments, je reprenais des employés qui osaient des faux pas.
Mais voilà que les dix minutes passent et une silhouette s’affiche devant moi. Je levais la tête et je croise le regard d’Isobel. Mon visage est fermé et je n’ai absolument pas l’envie de sourire. Mais si elle est là, c’est qu’elle à pris une décision et qu’elle a des choses à dire.
Elle s’assoit alors à mes côtés tandis que je pose mes avants bras sur mes jambes courbant mon dos afin de créer une sorte de bulle entre nous pour être le seul à entendre ce qu’elle dit sans laisser la musique interférer entre nous.

Elle m’ouvre alors son cœur et m’apprend que si elle n’assume rien, c’est parce qu’elle a peur, mais encore une fois, je n’arrive pas à comprendre de quoi elle a peur au juste. Je continue de fixer devant moi surveillant le déroulement de la soirée tout en sirotant mon Whisky. Mais cela ne voulait pas dire que je n’écoutais pas Isobel, au contraire elle à toute mon attention. Je repense alors à cette fameuse soirée où elle était venue mettre le chaos. Voilà donc pourquoi elle était venue ce soir-là ? Pas juste par ennuie ?
Isobel parle alors de la Russe. Je la laisse sombrer dans ce mensonge que j’ai monté de toute pièce sous les conseils de mon démon de père et avec l’aide de mes démons de frère et sœur . J’inspire un grand coup et je m’adosse dans la banquette après avoir posé mon verre sur la table basse du club. Je sors mon paquet de cigarette et je m’en allume une prenant quelque bouffé. Je recrache ensuite la fumée et je fixe le plafond en prenant la parole assez fortement pour qu’elle entende.

« Il n’y a rien entre elle et moi. J’ai voulus te tester, savoir si ce que tu ressentais quelque chose pour moi ou non. J’ai eu ma réponse ce soir quand tu es venu avec ta jalousie au bout des lèvres. »

Je tourne la tête vers elle et j’ajoute.

« Pourtant, je me suis dit que tu étais suffisamment intelligente pour voir que les articles de presse ne venaient que de feuilles de choux à ragot. Mais apparemment ta jalousie t’a aveuglé au point de croire à ces rumeurs. Elle avait besoin aussi de faire rager un mec alors disons que ça a été arrangeant pour nous deux, mais il n’y a rien entre elle et moi »

Je porte ma cigarette à mes lèvres et je recrache doucement ma fumée en passant mon bras au niveau des épaules de la démone. Il est hors de question que je retente quoi que ce soit avant d’avoir toutes les explications que je souhaite. Je demande alors en approchant mon visage de son oreille.

« Qu’est-ce qui te fais peur à ce point Isobel ? Que je te maltraite comme ta famille ? Tu sais que ce n’est pas mon genre, même en colère, je ne levais jamais la main sur toi. Que je te trompe ? Je pense que tu me connais assez pour savoir que si je m’engage officiellement avec quelqu’un, je suis loyale. Alors dis moi ce qui te faire peur au point de me briser et de me faire partir en Espagne un week-end »

Car oui, là-bas, je lui ai envoyé un sms pour lui dire que je n’étais pas à Los Angeles et elle apprend donc maintenant où j’étais en Espagne…




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Pas si simple d’ouvrir son cœur, n’est-ce pas ? Surtout que tu n’avais aucune garantie qui ne le réduise pas en miettes comme tu l’avais fait le mois passé... Autant le dire, tu faisais pas du tout la fière... Il écoutait, il était attentif et il ne te coupait pas la parole, signe qu’il prenait en considération tout ce que tu étais en train de lui dire. Tu étais incapable de lire les expressions de son visage, il semblait impassible et sombre... Pour le coup, tu savais qu’il était en train d’entendre tout ce que tu avais à lui dire et il aviserait sûrement après...
Finalement, tu osais lui parler de la russe... Avec cette pointe d’humour acerbe. Dans le fond, ça t’emmerdait énormément... Tu avais loupé ta chance et tu allais en payer le prix fort. Il allumait sa cigarette pour avoir sa dose de nicotine, tu attendais son verdict... Et il tomba assez promptement... Il se mit à parler assez fort malgré tout pour que cela te rentre bien dans le crâne et... Il avouait qu’il n’y avait rien du tout entre elle et lui... Clignant des yeux, tu tournais la tête vers lui rapidement en pinçant nerveusement tes lippes... Il n’avait pas tort, tu n’avais pas cherché les sources... Tu n’avais pas épluché plus en détail la véracité de cette information, tu t’étais laissé submerger par tes émotions et tu ne voyais que ta jalousie à cet instant...

Sentant finalement son bras se placer au niveau de tes épaules, tu sentais son souffle caresser ta peau. Ce murmure... Cette question qui n’était pas vide de sens... Mordillant l’intérieur de ta joue, tu détournais le regard. Évoquer ta peur publiquement et surtout en détail... Crispant légèrement ta mâchoire, tu vins à laisser échapper un petit soupir avant de finalement lui répondre.

« Rien de tout ça... Ce n'est pas toi le problème, ça n’a jamais été toi... C’est... Ta famille. »

Marquant une courte pause après avoir osé lui dire ce qui posait véritablement souci. Tu le laissais digérer un peu cette réponse avant de poursuivre dans une explication un peu plus détaillée.

« Ta famille est connue dans le monde de l’illégalité... Même mon grand-père a conscience de la réputation, mais aussi de la sévérité de la famille Blackthorn... Tu es très attaché à ta famille, elle passera toujours avant et ça... Je n’ai aucun problème là-dessus. Mais toi... Tu es le seul qui me connaît véritablement... Et en toute sincérité, ta famille me fait peur. Je sais ce qui adviendra de moi si je ne fais pas l’affaire. Et franchement... Je n’ai pas envie de me plier en quatre pour une famille qui ne m’aime déjà pas. »

Une petite référence à Katel qui avait été particulièrement taquine avec toi ? Oh que oui... Elle t’avait montré beaucoup de choses pour te faire peur... C’était sadique de sa part et elle s’était délectée de la crainte qu’elle t’avait suscité et Jared... Il avait beau ressembler à un homme calme et doux... Tout finit par se savoir, tu savais ce qu’il était advenu des personnes qui l’avaient contrarié.

« C’est pas la mort qui me fait peur... Mais regarde Aldo... C’est ton neveu et pourtant... j’ai vu le regard qu’il pouvait avoir quand l’on parle de “faire un exemple”. Je suis pas du tout tolérante à la douleur, me torturer serait très simple... »

Car oui, le monde de l’illégalité n’est pas rose... Et les familles mafieuses ont leur rituel. Tu savais que tu ne saurais jamais une traitresse mais... si tu venais à commettre une seule faute sans le vouloir, tu savais que tu le paierais très cher. Tes doigts tremblaient quand tu en parlais... Oui, tu l’aimais... Oui, tu avais envie d’être avec lui... Mais, tu étais morte de peur à l’idée de décevoir cette si grande famille qui se voulait perfectionniste.

« Je n’ai rien à voir avec les deux suceuses de sang... Elles sont élégantes, classieuses et paraissent bien... Moi, je suis un garçon manqué qui aime bien jouer aux jeux-vidéos et faire des nuits blanches à regarder des séries... Tu crois sincèrement que tes parents accepteront une paria comme moi ? J’ai eu des doutes dès le début... »

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Aveuglée par sa jalousie Isobel n’avait pas pris la peine de vérifier la véracité de ce qu’elle avait lue. Au final ce qui était apparu comme une relation entre la Russe et moi n’était qu’un tissu de mensonges et plutôt que de démentir nous avions décidé d’user de cette news pour favoriser nos affaires. Étant donné qu’il n’y avait pas eu de validation ni de démentie, la Russe était devenue une célibataire importante à L.A maintenant et quant à moi cela a fait une pub à mon entreprise et en plus cela m’a permis de voir qu’Isobel malgré ses mensonges était en fait attacher à moi.
Je passe alors mon bras autour de ses épaules contre le dossier du canapé alors que je m’avachis un peu laissant la soirée reprendre son cours. Je lui demande alors dans un murmure à son oreille avant de m’installer ce qui lui faisait peur à ce point.

J’apprends alors que c’est ma famille qui la terrorise. Je suis assez surpris, car il ne me semble pas qu’elle ai eu de soucis avec Jared , Katel ou Aldo. Bon, je dois avouer que maintenant ma mère ne la porte pas trop dans son cœur, mais rien n’est perdue.
Elle m’explique alors son point de vue et je la laisse faire. Inutile de lui couper la parole surtout que c’est moi qui lui ai demandé de s’ouvrir. Je comprend donc qu’elle à peur des représailles si elle venait à faire une bêtise. Je peux la comprendre. On ne va pas se mentir si elle venait à me faire du mal ma famille ne la laisserais pas vivre. A moins que je demande à ce qu’on la laisse en paix comme quand elle m’a rejeté. Si je n’avais pas retenu ma mère, Isobel serait sûrement sur un bûcher à l’heure qu’il est.

Je baisse les yeux sur ses mains tremblantes comprenant alors qu’elle ne jouait pas la comédie. Je pouvais sentir sa peur au fond de moi, et même si en temps normal cela me plaît, la voir dans cet état ne me fait pas jubiler. Elle me parle ensuite d’Elizabeth et Abigaelle. Je soupire et je pose ce que j’ai dans la main pour me tourner un peu vers elle. Mon bras sur ses épaules, ma main maintenant libre se pose sur une de ses mains tremblantes et doucement, je pose ma tête contre sa tempe en murmurant.

« Tu vas bien écouter ce que je vais te dire, parce que je ne reviendrais pas sur ce sujet. Ma famille est ce qu’elle est et je suis comme eux. Si par malheur, tu venais à commettre une bêtise, je te protégerais tant que tu es avec moi. Et si tu venais à ne plus être avec moi, jamais je ne les laisserais te faire du mal, tu as ma parole. Quoique tu me fasses subir, si on devait se séparer, je leur interdirais de te faire du mal. C’est moi qui me vengerais et si la torture t’inquiète, je te tuerais. Je peux être très mauvais Isobel, mais quand je fais une promesse, je la tiens. Je te promets que jamais tu ne subiras la moindre torture physique de la part de ma famille ou moi. »

Un peu dur ? Oui, car on ne va pas se mentir si on venait à se mettre ensemble et qu’un jour elle me quitte, je serais furieux, mais je suis quelqu’un de juste alors je la tuerais si elle me trahis comme ça, elle ne souffrira pas. Ma voix douce contrastait énormément avec le sujet de la conversation, cela pouvait être très malaisant. Je passe ensuite au deuxième sujet.

« Tu sais ce que tu as de plus que les deux Sangsues ? Tu es un démon et ça, ça vaut toutes les élégances possibles ne l’oublie pas. Quant à ton côté garçon manqué, crois-moi, il ne me dérange pas. Surtout que j’ai déjà noté les efforts que tu as souvent faits quand je venais te voir »

Doucement, je décale ma main afin de caresser sa jambe pour tenter de l’apaiser. Je recule ma tête et j’abandonne sa cuisse pour prendre entre mes doigts son menton afin de tourner son visage tendu vers moi. Je la fixe du regard et je murmure.

« Embrasse-moi… »

Un ordre ? Une demande ? Aucune idée, mais ce que je sais là tout de suite, c’est que je veux ses lèvres, je veux qu’elle comprenne que je la veux et que ma manipulation médiatique n’était qu’un grain de sable par rapport à tout ce que je peux faire pour l’avoir avec moi. Ce que je ressens pour elle va bien au-delà du désir charnel, la preuve vu que je n’ai jamais cherché à ouvrir ses cuisses, et cela, même lors de nos jeux. Non, ce que je ressens pour elle est niché au plus profonds de mon être dans cet organe qu’on appelle le cœur et qui s’est brisé le soir où elle m’a repoussé.

J’ajoute avant le baiser.

« Je te garantis que tu n’as rien à craindre à mes côtés bien au contraire… »



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Un remplacement hâtif
Trembler... c’était bien quelque chose qui ne te ressemblait pas, tu ne montrais que très rarement la crainte que tu pouvais avoir sur certaines choses mais là... Tu acceptais de te montrer vulnérable devant lui, il le fallait bien non ? Tu désirais lui montrer qu’il pouvait avoir confiance en toi, en dépit de la souffrance que tu lui avais fait subir plus tôt... Tu sentis sa main se placer sur la tienne et tu relevais doucement le regard tandis qu’il posait sa tête contre ta tempe. Les murmures qui suivirent... Une personne normale ou humaine aurait sûrement été horrifié par le “je te tuerais”. Néanmoins, une morte rapide et sans torture était toujours bien plus enviable que des jours et des jours de torture avant d’être achevée.
Mordillant l’intérieur de ta joue, tu écoutais ses paroles... Celles-ci malgré tout, étaient bien plus rassurantes qu’elles n’auraient dû l’être. Acquiesçant d’un petit hochement de tête, tu écoutais la suite de ses propos... Il te fit comprendre que tu n’avais rien à envier à Abygael et Elizabeth car... contrairement à elles, toi... tu étais démone et qu’en matière de style vestimentaire, il avait constaté les progrès et ton désir de bien faire le concernant. Puis sa main vint à glisser jusqu’à ta jambe, un geste d’apaisement qui marchait plutôt bien. Un petit rictus s’étirait sur tes lèvres alors que les tremblements commençaient à se taire. Finalement ses doigts prirent ton menton, ton visage se tournant vers lui, puis la demande qui suivit... Rien à craindre qu’il disait...et bien... Tu vins à fondre sur ses lèvres. Offrant un doux baiser à ce cher Adrian. Ça n’avait jamais été vraiment ton truc d’embrasser mais... t’en avais envie. Tu avais resongé à ce petit baiser qu’il t’avait fait quand il t’avait avoué ses sentiments... Ainsi, celui que tu lui offrais actuellement, était... doux, tendre mais aussi emplie d’une émotion certaine. Il ne dura pas bien longtemps mais tu le savourais. N’aimant pas particulièrement être l’objet de spectacle, tu souriais tendrement avant de reculer légèrement la tête.

« Après ça... Je crois que la presse va s’exciter. Je dois me préparer mentalement à lire des commentaires bien cons... »

Car oui... Sur le papier, tu étais une simple ingénieure informatique dans une entreprise bancaire, rien de bien mirobolant et d’excitant pour la presse à scandales qui aurait aimé sûrement une actrice, une musicienne ou une cliente. Toi... Tu n’étais rien de tout ça, tu étais une fille normale. Du moins, en apparence...
Ta main caressant la cuisse du démon, tu te décalais doucement alors que certaines têtes s’étaient tournées de manière discrète pour observer ce qu’il venait de se passer. Tu voyais déjà les gros titres “La grande russe se fait devancer par la petite chinoise.”, ça te faisait bien rire rien que d’y songer. Néanmoins, tu vins à prendre la main d’Adrian pour commencer à la serrer.

« Donc... je vais avoir le droit d’accéder à ton agenda personnel et professionnel sans être obligé d'hacker ta boite mail ? Pour savoir quand t’es dispo pour qu’on puisse se voir... »

Venais-tu de lui avouer que tu l’avais déjà fait ? Oh, il était pas stupide. Il devait s’en douter que tu l’avais déjà fait... Tu sentais ton cœur battre excessivement vite. Tu n’avais assurément jamais ressenti ça pour quelqu’un et il était là...il acceptait tes sentiments et les scelait avec ce baiser. Néanmoins... tu savais que le pire restait à venir, tu lui avais brisé le cœur plus tôt donc... tu allais en subir les conséquences.
Mais pour le moment, tu avais une envie irrésistible de l’embrasser... de le serrer, de te blottir contre lui comme s’il risquait de s’échapper à tout moment... Toutefois, tu te contrôlais. Il fallait pas faire ça en public nan ?...  

« Dis... Tu voudrais pas qu’on s’éclipse un peu plus tard ?... On pourrait aller chez moi ou chez toi... J’ai... j’ai envie de te sentir contre moi et t’embrasser sans risquer d’être épié... »


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Adrian Blackthorn




A peine ma phrase terminée, les lèvres d’Isobel se posent doucement sur les miennes. On est loin des baisers passionnés que j’échange avec certaines filles le peu de fois où je décide de m’immiscer dans un lit. Non là, on est sur un baiser sincère, tendre et… je serais presque tenté de dire amoureux.
Je savoure donc ce baiser qui ne dure certes pas longtemps, mais qui signifie tellement.
La démone me parle alors de la presse et je la rassure sur un point.

« La presse présente ici ne publiera rien sans mon accord… »

Je sens sa main sur ma cuisse ce qui me fait doucement sourire. J’ai bien conscience qu’il y a des regards sur nous, mais je m’en fiche. De toute façon, si Isobel accepte réellement de se mettre avec moi c’est qu’une question de temps avant que je la présente officiellement à mes proches alors les journalistes vont souvent me voir avec Isobel. J’ai appris à vivre avec tout ça, espérons juste que la démone arrive à supporter ça.

Je souris doucement quand elle parle de mon agenda. Me prendrait-elle pour un idiot ? Je sais qu’elle à hacker mes agendas, sinon jamais elle n’aurait sue où était ma première soirée quand elle à débarqué, ni celle-ci. Je murmure alors.

« Disons que maintenant, je vais activer le partage sur le tien comme ça, tu n’auras plus besoin de faire ta pirate sur mes comptes. »

Je prends mon verre en me séparant d’elle après un autre baiser et elle me demande si on pourrait ensuite aller chez elle ou chez moi. Je réfléchis un peu et je lui réponds.

« Nous allons aller chez toi. J’aimerais garder mon chez-moi pour nos jeux. C’est important pour moi de bien séparer les deux. »

J’espère qu’elle va comprendre et ne pas se vexer. Mais au moins, cela sera plus simple pour nous. Je termine mon verre puis je me lève et je vais voir mon assistant. Je lui demande de gérer la soirée et de m’appeler en cas de soucis, puis je fais signe à Isobel de me suivre. Nous passons par le parking et je prends le volant pour conduire jusque chez elle.
Assis dans ma voiture, j’entrelace mes doigts avec les siens et j’amène le dos de sa main à mes lèvres sans un mot profitant juste de ce moment avec elle.

Je ne mets pas longtemps pour arriver chez elle. Je couple le contact et je profite de mes vitres teintées pour passer une main sur sa joue et amener son visage au mien afin de l’embrasser a mon tour. Un baiser un peu plus chaleureux, moins chaste que tout à l’heure alors que je murmure entre deux baisers.

« Je ne veux que ton bonheur Isobel…N’en doute jamais »

Je profite de ses lèvres durant de longues secondes, puis je l’abandonne doucement pour sortir de la voiture. Je contourne la berline et j’ouvre la porte d’Isobel pour ensuite la suivre chez elle.

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Un remplacement hâtif
Ouais... Ce n’était qu’une question de temps avant que les journalistes se donnent à coeur joie de balancer toutes les horreurs possibles et imaginables sur ce qu’était ta relation avec Adrian. Mais à cet instant ? C’était clairement le cadet de tes soucis. En d’autres termes ? T’en avais rien à foutre. Tu ne vivais que l’instant présent en profitant du goût de ses lèvres. Ces lippes qui t’avaient tant fait envie sans jamais que tu n’acceptes de le montrer pleinement.
Il te fit malgré tout légèrement rire quand il évoquait tes méfaits concernant ta prise de possession de son agenda. Tu t’attendais à ce qu’il le sache déjà, il connaissait bien tes capacités de hacking après tout... Soufflant légèrement, tu acquiesçais d’un petit hochement de tête.

« Eh bien, ça me va. J’aurais pu à faire semblant de couvrir mes petites traces. »

Pouffant de rire, tu profitais du deuxième baiser qu’il t’offrit puis il t’annonçait préférer aller chez toi pour les activités de couple plutôt que chez lui. Haussant les épaules, tu lui offrais un petit sourire avant de répondre avec une certaine nonchalance.

« On fait comme ça alors. Reste à savoir si tu parviendras à garder le côté jeu chez toi très longtemps. »

Petite taquinerie évidemment pour montrer que tu lui en voulais pas du tout puis tu le laissais retourner vaquer à ses occupations. Il n’était pas dans cette soirée pour jouer l’amoureux transi après tout... Il risquerait de se faire enquiquiner dans le cas contraire. Mais le fait qu’il t’ait rassuré sur la discrétion des journalistes, ça te permettait de souffler un peu. Tu n’avais vraiment pas envie de lire des conneries le lendemain matin en prenant ton thé.
Le laissant donc te quitter pour aller rejoindre son assistant, tu t’apprêtais à tendre la main vers une coupe de champagne puis tu vis le signe qu’il te fait pour le suivre. Te levant donc, tu le suivais jusqu’à sa voiture, prenant place sur le côté passager, tu serrais doucement sa main alors qu’un petit frisson te gagnait quand il vint à déposer ses lèvres sur le dos de ta main.
Une fois arrivée dans le parking de ton immeuble, tu te laissais entrainer... Le baiser qui suivit, était tout simplement délectable, tu sentais la chaleur envahir ton corps... c’était ça avoir du désir ? Et ne pas vouloir que ça s’arrête ? Un frémissement te gagnant finalement, tu ne pus contenir ce petit sourire comblé sur ton visage en entendant ses mots. Ce moment était intime, passionnel mais tellement tendre.  

Il délaissait finalement tes lippes afin de sortir. Oui... il ne fallait pas non plus s’éterniser dans la voiture, tu sortais donc de la voiture, le laissant verrouiller le tout puis... tu prenais sa main de toi-même pour le guider jusqu’à l’ascenseur de l’immeuble... Appuyant sur ton étage, tu t’adossais au mur de métal, caressant le dos de sa main avec une légère timidité et une fois à ton étage... tu l’entraînais jusqu’à ton appartement. Ouvrant celui-ci avec ton code et la clé, tu le fis rentrer et... une fois la porte close... tu le plaquais contre le mur du corridor en te mettant sur la pointe des pieds pour lui voler un baiser. Un peu plus audacieuse que dans la voiture, tu glissais tes mains de son ventre jusqu’à son torse, franchissant la barrière de ses lippes par le biais de ta langue, afin de lui offrir un autre baiser intense et presque avide. Interrompant celui-ci, tu te reculais doucement en gloussant.

« J’ai toujours voulu essayer ça avec toi. Maintenant, je peux réaliser ce petit fantasme sans risque. Tu veux quelque chose à boire ? »  

Le petit changement de sujet rapide ? Ouais... Si tu t’écoutais... tu laisserais ton corps parler et tu aurais tenté plus mais... tu avais cette petite appréhension. Cette crainte d’être décevante comme tu as pu l’entendre à l’époque ou encore d’être déçue toi-même. Et puis... était-il prêt lui ? Tu n’en savais rien. Et pour le moment, tu avais peur d’aller trop vite en besogne.  

« Je vais pouvoir réaliser aussi un autre de mes petits rêves. Dormir avec toi. Tu croyais que le gros coussin présent dans ma chambre, c’était juste pour faire joli ? »  

Retirant tes chaussures à talons, tu faisais glisser la fermeture de ta robe pour commencer à la retirer. Sans aucune pudeur. Niveau sous-vêtement ? Même là tu avais fait un effort... T’étirant longuement, tu inclinais la tête en lui offrant un petit sourire.  

« Tu veux peut être aller prendre une douche avant qu’on se pose tranquillement ? »

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