Physique

Oh vous savez, je ne suis qu’un homme qui est dans la moyenne. Je ne suis pas un top-modèle et je ne cherche pas à en devenir un. Je suis, pour certains, une personne un petit peu plus grand que la moyenne, un mètre quatre-vingt-sept pour quatre-vingt-deux kilogrammes. La taille ne changera plus ayant fini ma croissance et mon poids ne varie pas vraiment, peut-être d’un kilogramme en plus ou en moins selon mon appétit, croyez-moi ou non, mais à part boire des litres de sang d’un gars avec du cholestérol chaque jour, on ne prend pas de poids en temps normal.

Par ma nature de vampire, la couleur de ma peau est des plus homogènes et des plus claires, sans oublier qu’étant blond vénitien de naissance, ma peau était condamnée à être clair et sensible au soleil si j'étais un humain, donc en vampire, vous imaginez bien que cela n’a pas arrangé les choses, autant la couleur que sa sensibilité au soleil. Pour ma chevelure, comme dit juste avant, je suis blond vénitien, d’une longueur demi-longue et des cheveux en bataille et avec plein d’épis, en gros, je n’ai pas les cheveux lisses et tombants, pour les avoir, c’est un cauchemar. Je préfère les laisser comme ils sont au naturel, donnant de temps en temps un petit coup de peigne quand l’envie est présente.

Mon visage est en forme de triangle cela veut dire que je possède une mâchoire proéminente avec un petit menton et que la base de mon visage est plus large que le sommet de ma tête. Mes sourcils sont fins, on peut dire qu’ils ont une forme d’aiguille, la base des sourcils larges finissant en pointe. Malgré mes origines Irlandaises, la forme de mes yeux est légèrement en amande sans pour autant être proche des yeux dits asiatiques. Mes lèvres sont assez fines et mes dents d’une grande blancheur et bien aligné mettant en avant mes deux canines.

Mon style vestimentaire est des plus simples et se résume en deux styles bien différents. Ma tenue de travail, en costume composé d’une chemise de couleur clair de préférence avec un col à l’italien écarté, d’un gilet de costume suivit d’un pantalon et d’une cravate ou pas selon l’envie de couleur foncé et de la même suivit d’une paire de chaussette en laine fine et une paire de chaussures Derby en cuir marron ou noir selon la couleur du reste du costume.

Et pour finir, ma tenue de tous les jours. Une veste kaki militaire accompagnée d’un polo ou d’un t-shirt, un pantalon cargo ou un jeans avec une ceinture large, une paire de chaussettes un peu plus épais avec une paire de bottine en cuir marron. Et, selon la météo même si je suis moins sensible aux différences de température, mais ça donne un style, une paire de gants en cuir et une longue écharpe tombant devant ou derrière.

Caractère

Que dire de ma personne ? Je ne suis pas une personne très conflictuelle de nature. Je serais rarement la personne qui aura début le conflit. Par contre, si tu me cherches de trop et que ce jour-là, ma patience n’était pas au top de sa forme, une fois que tu m’as trouvé, il va falloir assumer. Je ne prends pas plaisir à faire souffrir les autres, par contre les rosser pour les remettre en place, ça, c’est une autre histoire. Mais comme dit, je suis quelqu’un d’assez poser et calme de nature donc si je suis rentré en conflit avec toi et qu’on soit venu aux mains, c’est que tu l’as mérité.

Dans mon métier de barman, on a appris à être des gens plutôt sympathiques qui sont là pour servir et écouter leur client posé au bar en sirotant leur commande partageant leur moment de joie et de tristesse. Si tu n’arrives pas à avoir de l’écoute et de la patience avec les gens avec une pointe de compassion, change de métier ou soit serveur, mais par barman. Après, je dois avouer qu’avec les quelques années que j’ai derrière moi, j’ai amélioré et peaufiner mes qualités et appris à gérer mes défauts. Loin de moi de dire que je suis un saint. Je souhaite vivre mon existence sans trop de problèmes et continuer à découvrir ce que notre monde peut nous offrir.

Je m’entends avec la plupart des gens, qu’importent leur race et leur classe sociale. Enfin presque, je dois avouer que je fréquente plus la classe pauvre et moyenne que la classe riche. Mais si tu n’es pas prétentieux, ça devrait aller. Je ne cherche pas la gloire ou la richesse, juste la tranquillité et que tu ne te mêles de mes affaires, sauf si je t’invite à y participer. J’aime bien quand les choses sont plutôt stables, c’est plus visible et plus facile à faire avec. Le chaos à faible d’ose, pourquoi pas, mais pas longtemps, sinon je remonte les manches et on va remettre les choses à peu près en place pour que ça ressemble à quelque chose. Je ne suis pas pointilleux. J’accepte une marge d’erreur et d’imperfection dans ce monde et dans ce qu’on fait. Après tout, personne d’entre nous n’est parfait, alors ne le demandons pas. Je préfère montrer l’exemple et demander aux autres ce que je peux donner qu’appliquer la politique de « faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais ». Je veux dire que c’est plutôt hypocrite de faire ça et ta crédibilité est enterrée six pieds sous terre et bouffer par les vers si tu agis ainsi.

Je suis prêt à pardonner beaucoup. Qui ne commet pas d’erreur dans ce monde ? Par contre si tu viens me casser les pieds, pour rester poli, et que tu ne changes pas après mes trois avertissements, je ne réponds plus de rien et s’il me faut 100 ans pour me venger, j’attendrai le temps qu’il faut, mais tu vas t’en prendre une et quand tu t’y attendras le moins, du moins de préférence.

Si tu es correcte avec moi, je le serrais avec toi, si tu es pourri avec moi, je le serrais aussi avec toi. J’applique assez bien la politique du donnant-donnant. Je peux être le gars sympa du soin, un bon ami comme le casse-pieds du village ou ton pire ennemi, c’est toi qui choisis.

Compétences, Connaissances & Spécialités éventuelles

– Parle l’anglais, le français et le flamand en plus de sa langue d’origine le néerlandais.
– Bon utilisateur d’arme à feu de poing et d’assaut du fait de sa participation aux deux guerres mondiales ainsi que des explosifs comme la TNT et le C4.
– Très bon barman.
– Connaissance dans la navigation.
– Bon escrimeur
– Bon boxeur.
– Connaissance basique en mécanique.
– Secouriste.

Intérêts & Loisirs

– Aime la musique tel le rock et le métal.
– Soin travail et la satisfaction des clients.
– Naviguer autant sur un voilier qu’un bateau à moteur.
– La découverte de nouvelle chose.
– La nature et les animaux.

Avis sur le monde extérieur

Le monde est grand et riche en diversité. Il y a de la place pour tout le monde tant que l’un n’essaye pas de bouffer l’autre.

Je me méfie de certains de mes congénères vampires qui se montrent un peu trop arrogants envers les autres races.

Les lycans sont bien sympas tant qu’ils maîtrisent la bête en eux et qu’ils ne se prennent pas non plus pour la race supérieure, sinon méfiance bien sûr.

Les humains sont intéressants, mais se comportent comme des enfants ayant du mal à apprendre de leur erreur et ils font trop leur malin par moments.

Les anges restent potables.

Les démons sont trop opportunistes pour te la mettre à l’envers. On n’en a pas besoin d’eux, le monde est assez fou, pas la peine d’en rajouter.

Comme dit avant, il y a assez de place dans le monde pour tout le monde et il n’y aurait moins de problèmes si tout le monde arrêtait de se croire au-dessus des autres et à absolument vouloir dominer tout le monde.


Que pourrais-je vous raconter ? Vous savez, aux yeux de mes congénères, je suis qu’un enfant. Il est vrai que pour les yeux de certaines créatures, 150 ans c’est déjà pas mal, mais aux yeux de l’éternité, ce n’est rien.

Bon ! Je suis né le 17 avril 1886, donc dans le XIXe siècle. Une sacrée époque, un temps de révolution aussi bien social qu’industriel. J’ai même envie de dire que c’était une époque de grand progrès ou plutôt que les découvertes se sont accélérées.

Le temps des rois et des nobles était arrivé à leur fin. Les nouvelles pensées ont balayé les traditions du passé. Les gens personnes voient souvent les vampires comme des créatures arrogantes et insolent envers les autres races et ceux qui ne sont pas de la même classe qu’eux. Bien sûr qu’ils ont profité de leur capacité surhumaine pour se retrouver bien haut dans la société humaine. Bien sûr, que les vampires ont continué, en grande majorité, d’être dans les hautes sphères, mais de façon plus discrète, de façon moins mystique. Du moins jusqu’à l’époque que nous vivons aujourd’hui. Hier encore, il fallait cacher notre véritable nature et rester des créatures de légende. Aujourd’hui, nous sommes une race parmi tant d’autres aux réputations pas des plus glorieux hélas. Certains de mes congénères ont du mal à vivre en société s’ils ne sont pas les grands chefs et qu’ils n’ont pas le pouvoir sur la vie ou sur la mort sur les créatures les entourant. Que voulez-vous ? De vieille habitude tenace il faut croire.

Pour ma part, ma famille a toujours été des personnes qui se sont toujours mélangées aux autres races en restant dans la classe bourgeoise au plus haut et la classe moyenne aisée aux plus bas. Disons qu’ils ne cherchaient pas spécialement à être grands dans ce monde, mais plutôt à être tranquille et suivre le progrès auprès des humains qui étaient et sont la race la plus nombreuse et qui ont fait bouger les choses. Les activités de ma famille étaient assez multiples. Exploitant et vendeur de ressource et de matière brute ou transformer, patron de guilde marchande ou du secteur industriel. Il y avait de la place pour les motiver ou pas. Il est déjà arrivé que mes ancêtres étaient aux services d’autre vampire, comme dit, ma famille n’a jamais fait passer des grands de ce monde, du moins à l’époque, avant un certain nombre de changements et de révolution. Il faut avouer qu’il n’était pas étonnant de voir des membres de ma famille derrière quelques révoltes paysannes ou ouvrières. C’est de famille de vouloir fermer la gueule des grands.

En tout cas, je fais partie de la famille Wichers de Hollande, même si maintenant, on parle plus du Pays Bas. Nous nous sommes spécialisés dans le commerce maritime depuis quelque siècle maintenant. On s’occupait d’une partie de la voie maritime entre le Pays Bas et les Indes orientales néerlandaises. C’était une affaire des plus rentables, même si par la suite avec l’indépendance des colonies, ma famille a dû s’adapter aux changements avec une certaine réussite. Il faut dire que nous avons appris à faire avec les caprices du changement et qu’on ne perdait pas de temps à se demander si avant c’était mieux avant et faire de la résistance. Je pense que c’était à force de fréquenter plus les humains que les autres vampires que nous avons pris cet état d’esprit. En tout cas, j’avais le privilège d’être né dans un environnement stable et sûr, que ça soit du point de vue familial que financière. Cela a eu comme conséquence, l’accès à une bonne éducation à domicile, mais aussi dans les écoles privées. Les avantages de la bourgeoisie et le pouvoir de l’argent dans ce monde.

La vie de vampire était particulière à cette époque où notre nature devait être un minimum caché de tous, du moins pour ma famille. Ma jeunesse se passa très bien. Mon éducation scolaire était à un niveau respectable et je ne manquais de rien. Pour la pitance, je n’avais pas spécialement de problème, mon enfance était-elle de ceux des humains. Je pouvais savourer ce que le monde pouvait m’offrir. Tant de couleur, de texture, de sensation et de goût que pouvait m’offrir notre cuisinier. Je ne pensais pas, qu’un jour, j’allais perdre ce plaisir gustatif. Pour mes parents, c’était une autre histoire. Je ne les voyais jamais manger la même chose que bois. En fait, ils ne faisaient que boire, cela me semblait étrange, mais on me dit que c’était normal, que je comprendrais quand je serais plus grand. Je ne me suis pas posé plus de question que ça, car après tout, tout le reste de la famille faisait pareil. Ma famille avait une politique sur le sujet de se nourrir, jamais de mort et des personnes en bonne santé. Ce critère était pour deux choses. La première c’était pour la qualité du sang, mais aussi nous assurer du bon rétablissement des humains. L’approvisionnement en sang était assuré pour le grand nombre d’humain présent dans ma ville natale, Rotterdam. Prenez soin de ceux qui vous entourent et soyez discret et la plupart du temps, tout se passera bien. Pourquoi tuer lorsqu’on pouvait épargner ? Nous devions vivre en société et pour faciliter cela, il fallait apprendre à vivre et à respecter les autres et garder une certaine humilité. Ma famille n’était pas de grand prédateur terrifiant, ceux qui pouvaient déranger certain vieux vampire un peu trop traditionaliste et resté bloqué à une époque révolue.

Ma vie a été encadrée, très encadré par la famille. Je devais travailler et travailler et encore travailler pour rester à niveau et ne pas décevoir la famille. Mon avenir était déjà tracé. J’allais être dans la continuité de la profession de la famille, gérant d’une société de commerçant maritime. Encore fallait-il savoir si je ferais partie du conseil de direction ou si j’allais ouvrir une filiale ici ou ailleurs. Enfin, c’était le projet de la famille. Il faut croire que j’avais d’autre projet pour moi.

Ma jeunesse était bien encadrée et millimétrée. On me formait pour gérer une entreprise, mais aussi le domaine maritime, les lois et les codes maritimes ainsi la navigation. Je ne savais pas encore, mais dans l’avenir, je trouverai La vie de vampire fade. En fait, la vie de créature de la nuit n’était pas si palpitante que ça, mais je l’apprendrais à mes dépens à mon 21e anniversaire, pas avant. Avant cet âge-là, je pouvais profiter de la vie pleinement avec mes amis dits humains. La vie c’était le jour et la nuit, c’était le calme et le repos, en tout cas, pour une grande majorité des créatures vivantes. J’avais l’habitude de fréquenter et voir des humains. J’adorais cette vie.

En tout cas, j’ai pu m’épanouir et grandir sous la bienveillance de ma famille. Malgré tout ça, cela ne m’empêcha pas de les décevoir. Plus le temps passé, plus me sentait un mal-être grandir et je sentais de plus en plus le poids de cet encadrement de ma vie. Quand nous sommes enfants, on ne se rend pas forcément compte de ce qui se passe, mais à force de grandir, on commence à découvrir et à faire plus attention à notre environnement et à ressentir de nouvelle sensation et envie. C’est ce que les parents appellent l’adolescence et plus le temps passé, plus mon caractère se développer et se peaufiner et plus je m’étais à mal l’autorité de mes parents. L’ambiance familiale prit un coup et mon entente avec mes parents se dégrader de plus en plus. Par la suite, j’ai connu deux moments difficiles dans ma vie. Mon premier moment était à mon 16e anniversaire où ma famille en profita pour m’apporter un certain nombre d’explications sur notre famille, mais aussi sur certaine de leur habitude. J’ai appris que nous étions des vampires et qu’à mes 21 ans, j’allais en devenir un et que cela apportera un grand nombre de changements dans ma vie. Quel enfer. Je peux dire que je ne m’y attendais pas du tout. Ils m’avaient gardé secret de tout ça tant que j’étais enfant. Le second mauvais moment était à mon 21e anniversaire et le réveil de ma nature de vampire. Je peux vous dire que si je trouvais mon encadrement un peu étouffant avant, après ça, c’était bien pire. Mais cela était pour mon bien. À partir de là, je subissais deux formations, ma formation de vampire et ma formation de mon futur métier que mes parents m’avaient réservé. À partir de maintenant et pour expliquer mon intolérance aux soleils, j’étais, officiellement, atteint d’une maladie très rare qui rendait ma peau extrêmement sensible aux rayons de soleil qui expliquait la blancheur de ma peau ainsi mon impossibilité d’être à découvert la journée. En plus c’était de famille car ma famille était toute atteinte de la même maladie, un héritage génétique comme on disait.

Le point culminant et la désapprobation de mes parents pour ne pas dire mon émancipation arrivèrent dans l’année 1914 où le monde s’enflamma dans un conflit international entre grande nation. Je profitai de cette époque qu’on appellera la Première Guerre mondiale pour rejoindre la Légion étrangère en France. Ce fut la dernière fois que j’ai vu mes parents désapprouvant et condamnant mon choix.

Il ne fut pas simple de convaincre les officiers de la Légion étrangère d’accepter ma candidature à cause de ma fameuse maladie familiale, mais après une démonstration de ma force et de mon agilité, bien sûr mesuré pour éviter tout soupçon sur ma nature non humaine, ils acceptèrent de m’engager. Vous pensez bien que j’interviendrais que dans des tâches et mission nocturne. J’étais donc dans la Légion étrangère dans le génie. Ma première mobilisation fut à Verdun et c’était l’enfer. Je devais faire extrêmement attention à éviter d’être piégé où bloquer avant le lever du jour, lorsque je me nourrissais et bien sûr, mesurer mes actions à cause de mes capacités surhumaines. Je peux vous dire que c’était d’un casse-tête pas possible. Heureusement que j’agissais et travaillais que de nuit, l’obscurité m’a permis d’alléger certaines complications comme pour mes agissements surhumains et pour me nourrir. Bon, j’avais 28 ans et je suis vampire de naissance, mon apprentissage pour le contrôle face au sang, c’était depuis tout petit, ce qui m’a permis de me maîtriser malgré l’abondance de sang qu’il y avait sur le champ de bataille.

En tout cas, je survécus à la Première Guerre mondiale et je finis mon service afin de ne pas renouveler mon contrat et de rentrer décoré à la maison, du moins aux pays. Et oui, ce que j’avais fait resta à travers la gorge de mes parents. L’accès à la maison familiale me fut interdit. C’est à partir de là que je recherchais un travail. Mon pays a été plutôt bien épargné par cette guerre. Je devais chercher un travail ne proposant de faire les nuits. Et à force de chercher et regarder les annonces dans les journaux que je trouvais ce qui allait devenir mon métier principal. Un gérant d’un bar cherchait une personne pour faire les services de nuit. Il voulait voir si c’était rentable de laisser son établissement ouvert la nuit. Je répondis à l’offre et après un entretien des plus court, je fus embauché. Bien sûr, j’ai dû expliquer qu’avec ma maladie héréditaire, je devais venir au bord après le coucher du soleil et partir avant le levé, donc vous imaginez que mes horaires allaient légèrement changer selon les saisons. Bon, il me prenait en test et allait voir pour la suite. Il faut croire que cela avait marché car je suis resté dans son bar jusqu’à la seconde de guerre mondiale. Il n’avait pas eux une grande pause entre les deux, mais en plus, la première guerre était bien moche, alors celui-ci, on avait fait exploser les records de cruauté. J’en fus légèrement équerré. Après celui-là, plus de grande guerre pour moi, je rendrai mon tablier.

Bon, ma situation se passa comme la première, du moins à peu près car j’étais aux débuts de la guerre un appelé, donc un soldat et après la défaite de mon pays en mai 1940, je fus et finis cette guerre en tant que résistant. Je peux vous dire que c’était un sacré bordel, autant pour moi que pour mes adversaires. Malgré mes efforts, les gens commençaient à se poser des questions sur moi et ma véritable nature. Et oui, j’ai fait un certain nombre de bavures, si on peut dire, qui pouvait faire interroger les personnes m’ayant vu agir. Dans le feu de l’action, je ne dis pas que je n’ai pas révélé une partie de mes capacités de vampire.

Enfin, après cette guerre, qui n’avait pas arrangé ma relation avec ma famille et avait mis en place des rumeurs dans mon pays me concernant, je décidais de partir loin du vieux contient pour aller rejoindre la jeune nation des États-Unis où je m’installais en tant que barman. Je fis profil très bas en faisant que très peu de vague. Je survécus jusqu’à aujourd’hui, en septembre 2036.

Je suis de Maxwell Wichers de Holland, j’ai 150 ans et je suis un vampire barman.