Physique

Azalja est très clairement un petit bout de femme. Du haut de son mètre soixante et de ses 50 kg tout mouillés, on ne l’imagine absolument pas comme une menace. Avec ses grands yeux de Bambi, ses traits doux et son sourire solaire, il est difficile d’imaginer un tel visage d’ange se mettre en colère ou se montrer menaçante.

Elle a le physique typique d’une mexicaine. Des traits physiques qu’elle hérite tout droit de sa mère et de ses racines. Elle a la peau hâlée, tout autant que sa mère et sa grand-mère à force de passer tant de temps en extérieur. Ses longs cheveux ont tendance à onduler à force du contact semi constant avec les embruns. En été, quelques mèches de ses cheveux se mettent à prendre des reflets plus clairs, presque blonds, à cause de l'eau salée et du soleil.

Même si elle n’en est pas consciente, c’est une jeune femme d’une grande beauté. Elle ne joue donc pas de son charme. A vrai dire, elle ne s’est jamais vraiment posé la question d’avoir du charme ou non. Elle s’en fiche complètement.

Elle ne joue généralement pas dans les apparences. Elle s’habille de manière plutôt élégante depuis qu’elle est devenue titulaire à Caltech et qu’elle est en lice pour devenir cheffe de département, mais une fois hors des salles de classes, elle retrouve avec grand plaisir son bikini et sa tenue d’océanographe pour pouvoir se réfugier au sein de son élément favori : l’eau.

Caractère

“On obtient rien sans rien”. C’est un peu la devise d’Azalja. C’est ce crédo qui l’a poussée à étudier comme une forcenée. Elle a toujours été la grande sérieuse de la fratrie. Déjà enfant, elle était bien plus intéressée par les livres et les discussions d’adultes que par les amis et les jeux. Abuelita a toujours dit qu’elle était une vieille âme quand le père Azalja a toujours clamé qu’elle était un peu différente parce qu’elle était simplement plus intelligente que la moyenne des jeunes de son âge, ce qui est loin d’être faux. Azalja est intelligente. Très très intelligente. Probablement trop pour son propre bien à vrai dire puisqu’elle a une fâcheuse tendance à tout réfléchir bien trop en détail.

Azalja, “se lâcher”, elle ne connaît pas et a un peu trop tendance à sortir les grands discours quand sa petite soeur papillonne un peu trop. On pourrait clairement même dire qu’elle est rabat-joie. Elle sait qu’elle a les facultés de réussir sa vie et s’en donne les moyens. Elle veut rendre fière sa famille et ses branches mexicaines. Faire la fête, ça n’est pas ce qu’elle préfère. Elle préfère très largement se détendre au bord de la plage avec un verre plutôt que d’aller danser jusqu’au bout de la nuit. Elle a un peu tendance à être moralisatrice parfois ce qui peut être énervant. Heureusement, si elle a appris à taire ce côté en famille, elle peut largement se défouler sur ses étudiants qui lui sortent parfois par les yeux.

Néanmoins, sous ses airs de nana coincée, et disons le carrément parfois avec un balai dans le cul, c’est une personne extrêmement sensible qui a énormément d’amour à donner. Elle déteste ça, mais elle a souvent des airs de petite chose fragile. Pour elle, il n’y a rien de plus important que la famille. Quand elle aime, elle aime à 200%, inconditionnellement, ce qui lui a valu de se brûler les ailes et l’a forcée à se replier sur l’amour de sa famille plutôt qu’à trouver un partenaire de vie. Aujourd’hui, c’est un choix qu’elle regrette amèrement, surtout depuis que son instinct maternel et son désir d’être mère se sont réveillés.

Oh mais rassurez vous. Azalja n'est pas ennuyante à souhait pour autant. Elle est une personne  douce et avec un sens de l'humour prononcé. Si vous avez le moral dans les chaussettes, elle n'hésitera pas à plaisanter avec vous pour vous faire sourire. Cela dit, ne vous attendez pas à une blague digne du comedy club. D'autant plus lorsqu'elle est dans son élément, elle devient une personne très solaire, heureuse, comme un poisson dans l'eau. C'est un professeur apprécié, puisque ses étudiants sont témoins de cette personnalité lumineuse. Et oui, vous pouvez faire des blagues déplacées dans son cours sur les moules. A vrai dire, il y a de fortes chances qu'elle les ait toutes faîtes pendant la semaine d'orientation. Parce que bon, comme ça, c'est fait.

Compétences, Connaissances & Spécialités éventuelles

Il y a plusieurs manières de répondre à cette question. Déjà si on commence par ce aui importe le plus à Azalja, elle est détentrice de nombreux prix scientifiques tels que l'International Prize for Biology ou encore Carlos J. Finlay Prize for Microbiology. Elle ne s'en vente pas, mais elle est la personnalité scientifique américaine la plus médaillée du pays en biologie et océanographie.
Vous pouvez donc lui poser la moindre question à propos de la mer ou de l’océan et elle vous répondra avec une exactitude presque irritante. Oubliez Wikipédia, vous avez rencontré Azapidia.

Néanmoins elle dispose d'autres compétences liées à ses loisirs et passions :

Intérêts & Loisirs

Ça ne vous étonnera pas, tout ce qui tourne autour de la mer, Azalja l'aime et en fait une passion. Le surf ? C'est là que vous la croiserez le dimanche matin. La voile ? Elle la pratique dès qu'elle a besoin de calme. La plongée sous-marine ou en apnée ? C'est son quasi quotidien. La navigation ? Elle a eu son permis bateau avant son permis voiture. Vous le comprendrez, c'est à la plage que vous trouverez Azalja et toutes ses passions.

Avis sur le monde extérieur

Azalja a toujours eu un regard plutôt neutre sur les créatures. Elle n'a jamais voulu se faire d'opinion particulièrement, parce que comment juger quelque chose qu'on en peut pas intrinsèquement comprendre ? Si elle voulait se faire une opinion précise sur les créatures, elle serait devenue scientifique pour le gouvernement. Or, elle n'a jamais particulièrement été attirée par cette matière. Soyons clairs, s'ils s'agissait de créatures marine, Azalja aurait été la première à se porter volontaire pour comprendre les créatures. Cependant, apriori, les tritons et sirènes n'ont pas fait leur apparition sur le baie de Los Angeles.

Voilà qu'en février 2035, elle a été transformée par deux Enragés aujourd'hui morts entre les griffes de leur Alpha. Azalja a bien été forcée de quitter sa position de neutre puisque désormais inclue dans ce débat. La lycane découvre encore aujourd'hui un nouveau monde. Un monde qu'elle avoisinait jusqu'ici. Forcée de se faire une opinion, elle est entièrement pour la paix et l'égalité. Après tout, elle n'a pas choisie sa transformation et veut simplement reprendre le cours de sa vie. Alors à quoi bon faire la guerre ? Ne peut on nous donc pas tous cohabiter ?


Azalja est née le 3 décembre 2003 à El Paso, au Texas, tout près du Mexique. Elle est le fruit de l’amour entre Estelinda Ariela Galarza Carrión, une Mexicaine chargée de projets techniques en aéronautique et un Américain, Milton Jonathan Whitted, technicien informatique en aéronautique. C’est lorsqu’Azalja eut un an et demi que sa petite soeur vit le jour : Amanda Verena Iliana

Quand Azalja avait 4 ans, la petite famille quitta le Texas pour s’installer en Nouvelle-Orléans et plus précisément à Saint Claude. Le déménagement perturba énormément la jeune Azalja qui se révéla être une enfant ayant bien du mal avec le changement. Néanmoins, les particularités d’Azalja ne s’arrêtaient pas là. En effet, elle avait toujours été un peu en retrait par rapport à ses camarades, préférant largement le calme et la solitude, détestant toute injustice, se montrant sensible voire hypersensible, facilement distraite et préférant largement la nature (et particulièrement la plage) à tout terrain de jeu. Elle n’a jamais voulu la moindre poupée ou même le moindre jeu et s’est toujours extrêmement rapidement lassé de toute activité supposée être ludique. Si abuela affirmait qu’il était indubitable qu’Azalja était une “alma vieja”, à savoir un phénomène spirituel portant sur un type de réincarnation à la naissance. Un peu plus cartésien que sa belle-mère, Milton décida de faire passer des tests psychiatriques à sa fille aînée et le résultat fut sans équivoque : Azalja disposait d’un QI nettement supérieur à la moyenne. Alors, petit génie ou alma vieja ? Difficile à dire et le débat ne s’est jamais vraiment éteint entre la grand-mère et le père de famille. Néanmoins, ça n’avait pas d’importance puisqu’à peine les résultats du test de QI annoncé, la nouvelle école d’Azalja, William Frantz Elementary School, proposa déjà de faire sauter une classe à l’enfant pour éviter qu’elle ne s’ennuie trop à l’école. Milton et Estelinda accéptèrent sans la moindre difficulté. C’est ainsi que la petite Azalja eut sa toute première rentrée dans un état différent, dans une école différente et à un niveau différent. C’est dès lors qu’une profonde nyctophobie grandit en elle, rendant son sommeil extrêmement compliqué. Azalja se réfugiait constamment soit dans le lit de ses parents, soit dans celui de sa petite sœur.

Néanmoins, sauter une classe ne fut pas suffisant. Non seulement Azalja s’ennuyait énormément et préférait largement apprendre à son propre rythme en lisant les livres de la bibliothèque de ses parents, mais en prime, eh bien… il lui arrivait de corriger ses institutrices en pleine leçon ou même de déclarer ouvertement qu’elle s’ennuyait et que les additions étaient trop stupides. Outch. A vrai dire, elle avait passé tout au plus deux ans à l’école élémentaire et s’en était déjà trop pour les enseignants qui commençaient à conseiller au couple d’envoyer Azalja dans une école spécialisée, sur la côté Est. Un conseil, si vous voulez rester en vie : ne demandez JAMAIS à une maman mexicaine d’envoyer son enfant au loin, directrice s’en souvient encore très bien. On décida donc de lui faire sauter une deuxième classe, creusant d’autant plus l’écart d’âge avec ses camarades avec lesquels elle avait déjà tant de difficultés à se lier. Souvent assimilé “au bébé” et à “la miss je sais tout”, ce qui devint un écart d’âge se transforma assez vite en harcèlement scolaire. Un harcèlement donc Azalja refusait de parler à ses parents qui commençaient de plus en plus à être distant l’un de l’autre. De part son hypersensibilité, l’enfant pouvait extrêmement bien sentir la tension grandissante entre ses deux parents et avait bien remarqué que, en rejoignant le lit de ses parents, l’un des deux était souvent absent du lit conjugal.

C’est presque avec soulagement que l’école élémentaire l’envoya au collège : la Bishop Perry Middle School. Cependant, sans surprise, le collège se retrouva avec les mêmes problèmes en dépit de la flexibilité de pouvoir faire passer Azalja dans des cours plus avancés. La même solution fut offerte aux parents et… La même réponse acide d’Estelinda ne tarda pas. Alors… eh bien, même solution : on décida de faire sauter une nouvelle classe à Azalja qui avait désormais trois ans d’avance, creusant encore plus la différence d’âge entre ses camarades et elle, augmentant encore plus le harcèlement scolaire. Élève la plus jeune de tout le collège, puis de tout le lycée, elle ne garde absolument pas de bons souvenirs de ces années, préférant largement se réfugier au bord de la plage à observer les animaux marins qu’au contact d’autres personnes. C’est ainsi que Milton commença un peu à ouvrir les yeux sur le mal-être de sa fille et à contrebalancer en devenant surprotecteur envers elle.

Et puis, finalement, quand Azalja avait 15 ans, il a fallu commencer à trouver une université. Vu les résultats scolaires de cette dernière, plusieurs bourses d’études lui furent proposées et c’est finalement le très prestigieux California Institute of Technology qui fut leur choix et qui accueillit Azalja a la rentrée suivante.

C’est une Azalja de 15 ans qui commença ses études en Californie, alternant entre voyages entre la Louisiane et le Mexique pour toutes les occasions familiales. Un véritable sport, mais ça n’avait pas la moindre importance puisqu’elle était auprès des siens.

Ses études furent brillantes. La licence ? Elle l’obtint les doigts dans le nez et la suite logique fut un master. Concentrée dans les études, elle ne s’accordait que très peu de distractions. Les soirées étudiantes ? Non merci. Elle avait bien plus tendance à se plaindre du tapage nocturne qu’à y participer.

Jusqu’au jour où… elle rencontra un garçon. Il fallait s’y attendre après tout, non ? Alors âgée de 19 ans, notre petite Azalja tomba dans les bras de Sam Hemsworth. Sam, il avait tout pour plaire : beau, intelligent, gentil, issu d’une famille new yorkaise extrêmement respectable, joueur de football à haut niveau. A peine les Galarza Carrión apprirent la relation d’Azalja et Sam qu’ils commencèrent déjà à parler mariage, faisant un brin lever les yeux au ciel au jeune couple qui pourtant se voyait passer sa vie ensemble en dépit de leur jeune âge. Un an de relation, et puis un beau jour, Sam fut repéré par un recruteur de la NFL. C’est là que Sam changea du tout au tout. Entre matchs aux quatre coins du pays, soirées mondaines, fans envahissant qui décrivaient Sam comme “un sex symbol”… le couple fut mis à rude épreuve. Encore plus quand Sam commença à abuser un peu trop des substances illicites en soirée. Azalja, douce rêveuse qui croyait au prince charmant et aimait Sam beaucoup trop et pardonnait beaucoup trop. Elle pensait pouvoir le garder sur le droit chemin, mais ça ne fonctionna pas. De petit ami parfait, Sam devint infidèle appréciant bien trop les regards féminins sur lui, brusque et arrogant. Les disputes se multipliaient de plus en plus. Des disputes qui, peu à peu, se ponctuaient de gifles, d’insultes, de coups et parfois même d’abus sexuels. Sam affirmait toujours ne pas s’en souvenir, trop enfouis sous l’influence de la drogue. Azalja se sentit rapidement dépassée par la situation et, en dépit de l’aimer, décida de le quitter. Sam ne l’entendit pas de cette oreille et la plus violente dispute du couple éclata. Une dispute qui poussa Azalja à s’enfermer dans la salle de bain et appeler son père ainsi que la police au secours.

Azalja ne fut pas vraiment prise au sérieux. Ce fut sa parole contre celle de Sam et il fallait bien avouer que le fait que Milton tabasse le joueur de football pour avoir osé toucher à sa fille chérie n’arrangea EN RIEN l’affaire. A deux semaines de terminer son master, Azalja valida ses derniers cours et décida de quitter Los Angeles pour le Mexique. Son but ? Prendre une pause, tourner la page, arrêter de voir Sam dans de nombreuses émissions de télé et arrêter de passer pour la profiteuse qui tente d'extorquer le dernier joueur chéri du pays. Elle s’inscrivit alors à l’Universidad del Mar-Campus Huatulco à Bahias De Huatulco et rejoignit le programme de doctorat de biologie maritime. Ce fut une réelle bouffée d’air frais pour elle et elle se refocalisa à nouveau pleinement sur les études et renoua énormément avec ses racines mexicaines, allant jusqu’à faire passer le nom de famille de sa mère dans l’emploi de son nom de famille courant. Retrouvant le Mexique mais aussi le contact doux et rassurant de sa mère: c’était tout ce dont elle avait besoin pour se ressourcer. Deux ans s’écoulèrent jusqu’au jour où une nouvelle secoua la NFL : Sam avait fait une overdose et avait été retrouvé mort. Azalja fut nettement plus secouée par la nouvelle qu’elle ne le montrait. Sam restait son premier amour en dépit de tout ce qu’il lui avait fait. Sa mère et sa grand-mère eurent beau tenter de lui arranger des rendez-vous avec de nombreux garçons, rien n’y faisait. Azalja n’avait aucune envie de s’intéresser à l’amour et préférait se concentrer sur les études.

A 23 ans, elle devint Docteur Galarza Carrión Whitted et ses recherches en biologie marine et protection des océans lui vallèrent de grandes acclamations dans le monde de la science. Elle fut alors à nouveau approchée par Caltech qui lui proposa de doubler son doctorat avec un deuxième doctorat en océanographie. La proposition fut bien alléchante pour Azalja qui retrouvait alors son tempérament de carriériste. Elle accepta et s’envola à nouveau pour Pasadena en dépit des inquiétudes de son père. Pourtant, son second doctorat ne se déroula pas de manière moins paisible. Bien au contraire. Azalja brillait littéralement et commençait à enchaîner les publications et les récompenses scientifiques, faisant régulièrement la une d’ouvrages spécialisées dans la matière. Elle se sentait bien, finalement dans son milieu et elle se fichait bien du célibat, quand bien même sa mère et sa grand-mère ne manquaient toujours pas de lui présenter de charmants mexicains à chaque retour au pays.

A 28 ans, elle fut alors diplômée de deux doctorats et c’est tout naturellement que Caltech chercha à la garder, l'embauchant comme chercheuse et professeur. Si Azalja n’était pas particulièrement fan du monde de l’enseignement, celui de la recherche lui allait comme un gant et d'espoir de la biologie, elle devint l’une des biologistes les plus importantes de la décennie.

… Pourtant, tout fut à nouveau chamboulé en février 2035. Après un gala scientifique, Azalja rentra chez elle, seule, de nuit. Une grande erreur. A peine quitta-t-elle son taxi pour rejoindre son appartement qu’elle fut agressée à la porte de son immeuble. Elle fut traînée jusqu’à une ruelle sombre par deux hommes dont la seule chose qu’elle vit furent la couleur de leurs yeux : presque dorés. Il s’agissait de deux Enragés louveteaux, désireux de suivre le précepte de leur Alpha d'agrandir la meute pour être plus forts et d’ainsi briller par leur prise de décision. Néanmoins ses agresseurs durent interrompus et elle fut abandonnée là : ses vêtements déchirés, quatre larges morsures profondes sur le corps. La douleur fut telle qu’elle ne parvint même pas à bouger et pour être honnête, elle pensa qu’il s’agissait de ses dernières heures.

Elle resta là, dans cette ruelle sordide à agoniser jusqu’à l’aurore et qu’un SDF passa par là. Il alerta les secours et fut envoyer à l’hôpital où un infirmier particulièrement gentil sembla tenter de la rassurer. Azalja survivrait ses blessures. Mais pas sans conséquences. En effet… après trois jours de souffrances et de fièvre,  il devint extrêmement évident qu’elle avait été transformée. Ce fut un choc mais aussi un désespoir pour Azalja qui n’osa pas même en parler à sa famille tout de suite. Elle fut cependant conduite auprès des Pawnees sous conseil de son beau-frère, pour être entourée de gens capables de comprendre sa condition et de la guider. C’est ainsi qu’elle rejoint le groupe il y a tout juste quelques mois en tant que réfugiée. Si elle n’est pas encore pleinement habituée à sa nouvelle condition, elle cherche encore à trouver sa place au sein de ce monde qu’elle n’avait observé qu’à distance. Aujourd’hui, elle tente toujours de s’habituer. Contrôler sa nouvelle condition quand on est hypersensible n’est pas chose facile, loin de là…