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 Stephen Scott

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Stephen Scott


Identité


Prénom(s) : Stephen John
Nom : Scott
Surnom(s) : Steph, Abruti
Âge physique : 28 ans
Genre : Masculin
Nationalité : Anglais
Race : Vampire

Informations


Groupe : Neutre
Rôle : /
Métier/Etudes : Militaire
Orientation : Hétérosexuel

Race


Date de naissance : 09 mai 1945
Date de transformation : Juin 1973
Âge réel : 89 ans


Descriptions

Physique


Taille : 1m92
Poids : 99 kg
Yeux : Bleus
Cheveux : Noirs
Signe particulier : Tatouages et toujours la clope au bec

Grand. Un mètre quatre vingt dix et même un peu plus, il n'a jamais trop pris la peine de se mesurer. L'armée l'a fait pour lui mais cela l'importe peu.
Fort. Des kilos et des kilos de muscles entretenus chaque jour par des séances de sport intensives. Des abdominaux en béton, des bras plus gros que vos cuisses et des mollets... N'en parlons pas. Cela vous donnerait des frissons.
Pourtant, est-il effrayant ? Non. Loin de là. Ses yeux de glaces auront beau vous juger et vous percer de toute part, Stephen est un bel homme, agréable aux yeux comme au toucher. Sa chevelure de jais, coupés courts à l'armée ont aujourd’hui repoussés. Il ne les coupera que lorsque l'on le renverra en mission. Ce n'est pas le cas, autant en profiter.
Des sourcils épais encadrent ses yeux d'hiver. Son sourire, lui, souvent narquois, est figé sur son visage. L'on dirait que l'homme ne sait être autre chose que moqueur. Peut être est-ce le cas après tout.
Une clope au bout des lèvres, Stephen n'est pas du genre à s'encombrer des futilités telles que les interdictions de fumer. Quant au cancer ? Mmph. Il mourra sûrement plus de la main d'une créature que de celle du cancer. Et ce ne sont pas ses deux paquets qui y changeront quelque chose.
Des tatouages ? Il en a sur tout le corps : bras, jambes, torse, dos, partout, sauf sur les pieds, les mains et le visage. Non pas qu'il ne le veuille pas, mais il paraîtrait qu'un commandant de l'armée britannique doit donner l'exemple. De la merde donnée par des bureaucrates en couche culotte. Rien d'autre. Enfin. S'il veut rester militaire, il n'a pas le choix que de se plier aux ordres, et l'armée, il ne connaît que cela.
Il a par ailleurs, plusieurs cicatrices dont le temps ne l'a pas aidé à s'en défaire. La plus importante traverse son dos, un coup de couteau d'un cinglé en mission. Un afghan. La blessure fut si profonde que sa condition vampire la referma sans guérir chaque tissus. Dommage. La deuxième se trouve sur son bras droit, sombre histoire de drogue et de tentative de suicide. Mais nous verrons cela plus tard.

Vestimentairement parlant, le style de Stephen est assez simple. En uniforme lors de ses services. T-shirt, vestes en cuir, jeans et boots en civil. Rien de bien détonnant à L.A.

Caractère


Froid, Moqueur, Méprisant, Vulgaire, Fidèle, Malheureux, Renfermé, Joueur, Solitaire

Peur(s) : Le feu
But(s) & Rêve(s) : Il n'en a actuellement plus vraiment et se laisse vivre ou plutôt survivre

Froid, sévère, sarcastique, moqueur, méprisant, fatiguant somme toute. Beaucoup de termes peuvent aller à cet homme. Mais voyons cela plus en profondeur.
Stephen est un homme charismatique, il se sait aux normes physiques de la société et en joue beaucoup. Il n'a cure de la vie en général et des autres, il ne vit que pour servir ses propres intérêts. Un bon Sanguinaire somme toute sauf que non. L'adhésion à une soit disant famille de sangsue ? Très peu pour lui. Il préfère encore faire cavalier seul, au moins, il n'a personne dans les pattes.
Drôle de personnage pour un militaire direz-vous. Certes. C'est un fait. Mais c'est cela qui en fait un parfait commandant : il fait respecter les lois sans distinction. Néanmoins, il n'y a qu'une chose à laquelle il tient dans ce monde : son bataillon. Il est apprécié de ses hommes pour son franc parlé et sa capacité à emmerder les supérieurs. D'ailleurs il n'est franchement pas apprécié de la plupart de ses supérieurs. Mais il s'en fout. Oui, ce qu'on pense de lui il s'en fout complètement. Il a d'ailleurs un sang froid à toute épreuve. Impassible, calme et provocateur. Trois adjectifs qu'il met en oeuvre chaque jour que Dieu fait.
Mais cette impassibilité cache aussi une véritable colère, une explosion de mauvais sentiments et de rancœur. Stephen est un homme fragile, psychologiquement parlant, lorsque l'on creuse son histoire et ses sentiments. C'est pour cela d'ailleurs qu'il n'en parle jamais.
Sa plus grande peur ? Oh... Il en a plusieurs. Le feu, d'abord, et ressentir le moindre sentiment, ensuite. Rajoutons à cela la peur de mourir, et vous aurez un dessin de Stephen Scott.
Steph, aussi appelé Le Chasseur, est un fin tireur, de fait, il a appris la patience et la sérénité afin de toujours viser droit. Ne tentez tout de même de le provoquer, il risquerait de vous faire rapidement sauter la tête. D'ailleurs, cela risque d'arriver bien plus vite si vous êtes un lycan. Stephen a effectivement une haine complète des lycans, et des humains, quoique cela s’apparenterait plus à du mépris qu'à de la haine. Ses comparses vampires, quant à eux... Mmmph aucun intérêt.

Stephen, est, à part cela, un pianiste hors pair. Oui, oui, cela dénote un peu du reste du personnage mais... Que voulez-vous, l'on ne peut être parfait.

Annexes

Compétences, Connaissances & Spécialités éventuelles


D'abord militaire, Stephen maîtrise les arts du combat : à mains nues ou par arme à feu, le vampire fera tout pour vous botter le cul s'il l'a décidé.
Il est néanmoins un piètre orateur, pire que ça même. Stephen est rustre, et ne lui demandez pas de bien se comporter en société. Oh il sait le faire ! Grade de Major oblige, représentation toussa toussa. Mais il déteste ça. Alors... Estimez que s'il fait un effort pour vous, c'est que vous êtes très important pour lui.

Ayant arrêté l'école très jeune, à 9 ans, Stephen n'est pas un universitaire et préférera l'action à la réflexion.

Intérêts & Loisirs


Stephen aimait jouer du piano, mais depuis la disparition de sa fiancée, l'homme refuse de toucher le moindre clavier.
Il aime par ailleurs chasser, un vampire à l'ancienne.
Citons son amour de la boisson, accrue ces derniers temps, et d'autres substances plus ou moins recommandable, et vous aurez les intérêts de Steph.

Avis sur le monde extérieur


Il vous emmerde. Tous autant que vous êtes.

Votre Histoire

Stephen Scott est né le 9 mai 1945 à Manchester de Stephen et Maragareth Scott. Ses parents, militaire pour l'un et couturière pour l'autre faisaient partie de la classe pauvre de la population de la ville. D'ailleurs, il ne sait vraiment si John Scott fut réellement son père biologique. A vrai dire, il ne l'a jamais connu, ce dernier étant mort quelques jours avant l'armistice. Cela lui a toujours paru étrange... Comment son père, envoyé sur le front, aurait-il pu faire un enfant à sa mère... Cette dernière lui a toujours affirmé que John avait quelques permissions mais... non. Il n'y a jamais cru. C'est dans cette ambiance de suspicion envers sa propre mère que le jeune Stephen a commencé à construire sa vie.
Enfant calme et studieux jusqu'à ses huit-dix ans, il a commencé à dévier du "droit chemin" à partir de là.
Tout à commencé à huit ans et six mois, alors que sa mère lui avait interdit de sortir, Stephen et trois de ses copains s'étaient enfuis de la chambre du garçon. Rien de grave pensez vous sûrement, non. Bien sûr. Si ce n'est que trois personnes sont mortes après l'incendie provoqués par cesdits garçons. Stephen a d'ailleurs bien faillit mourir de cet incendie. Piégé dans les flammes, il ne doit aujourd'hui sa survie qu'à un pompier courageux. Sa peur lui vient ainsi de ce dramatique épisode de sa vie, tout comme son amour de l'uniforme.
Après cela, sa mère a cru bon durcir les règles. Cela a fonctionné. Un an, tout au plus. Et Stephen recommença, il caillassa des devantures de magasins, il vola à droite et à gauche, il agressa même quelques femmes et quelques hommes riches afin de gagner un peu d'argent. Après tout, que peut on faire à dix ans à part cireur de chaussure et cela... Non. Il se refusait à se mettre à genoux devant ces gens qui les méprisait. Car il faut dire que, depuis que Margareth était devenue veuve, les recettes de la famille s'était aussi vue divisées. Bien sûr il y avait la pension de veuvage de guerre, mais cela ne suffisait en rien à nourrir une femme et son fils, à payer le loyer, les charges et le reste. Loin de là. Et nombre de personne profitaient alors de la faiblesse de cette Mère célibataire, l'obligeant à travailler nuit et jour pour des sommes ridiculement faibles. Cela, Stephen l'avait bien rapidement compris, développant alors une haine de ces gens riches et imbus de pouvoir. Alors était-ce vraiment un crime que de les voler, après tout...

Lorsque l'adolescent eut atteint ses dix-sept ans, alors que sa mère avait abandonné depuis longtemps tout espoir de le voir un jour réussir de hautes études diplômantes et, à son sens, réussir sa vie là où elle avait échoué, Stephen avait décidé bien autre chose. Ce dernier s'était en effet rapproché d'un groupe de jeune d'une vingtaine d'années, les "flower children". Des gamins drogués et en dehors des réalités, comme le déplorait Margareth. Des hippies, somme toute. Mais Stephen adorait. Ils contestaient le travail, la société matérialiste et industriel, le pouvoir par l'argent, ils prônaient l'acceptation de tous. Tout cela lui parlait, à lui, enfant pauvre, enfant qui se sentait loin de tous ceux qui l'entouraient.
A son sens, et encore aujourd'hui, cette période fut la plus heureuse de sa vie. Il pu y connaître ses premières (et sûrement pas ses dernières) expériences sexuelles, et surtout il était bien. Non pas seulement à cause de la drogue qu'il consommait à longueur de journée, non, mais parce qu'il avait trouvé un sens à sa vie. Du moins le croyait-il encore à cette époque.
Tout cela dura jusqu'au début des années 1970. Stone les trois quart de son temps, Stephen ne se rendit même pas à l'enterrement de sa mère, terrassée en 1969 par la grippe de Hong Kong.
Mais le mouvement était amené à disparaître, de plus en plus de hippie, d'enfants fleurs comme ils aiment s'appeler, se dispersaient et rejoignaient les rangs de ceux qu'ils avaient combattu jusque là. Que faire donc... Se battre ? Se ranger ? Stephen ne savait plus à quel saint se vouer. Ceux là même qui l'avaient accueillis se détournaient de lui alors que lui même n'avait plus personne à cause d'eux... A quoi pouvait-il donc faire confiance ?

Le mouvement finit par s'éteindre, laissant Stephen seul, plus pauvre que la pauvreté, et fatigué de cette vie. L'espoir d'un monde meilleur, comme celui dont sa mère lui parlait étant petit, celui où était parti son père, lui semblait devenir un choix logique pour la suite des événements. S'il n'était pas heureux sur cette terre, pourquoi donc continuer à se battre, pourquoi continuer de vivre.
1973, en juin. Une énième journée venait de se terminer. Une autre. Stephen était assis sous un pont. Une odeur âcre, désagréable, de pisse chaude, autour de lui. Dans sa main, un bout de miroir qu'il avait ramassé dans une cour non loin de là. Sept ans de malheur. Il n'en avait que faire. Sa vie ne serait pas si longue. Le regard vide, il fixait un point face à lui. Comment faire ? Pour ne pas trop souffrir, pour ne pas se rater. Il hésitait. Non. Il ne fallait pas hésiter. Sa main droite se leva et alla poser le tranchant contre la veine intérieure de son poignet. Un coup net, cela suffirait. Ce n'était pas si difficile après tout. Et pourtant. Il avait peur. Trois fois, il respira. Ferma les yeux et... Il trancha.

Une douleur aiguë parcouru son corps de haut en bas. Dieu pourquoi cela faisait-il si mal ? Comment une simple veine pouvait-elle donc faire souffrir à ce point ? L'homme avait envie de hurler, de s'arracher chaque membre, chaque cellule de son corps pour faire cesser la douleur. Pourquoi, POURQUOI avait-il voulu cela ?! POURQUOI ?! La même question lui tambourinait dans la tête. La même question et aucune réponse. Et cette douleur...
Ses yeux, enfin, se fermèrent. Enfin. Il allait pouvoir connaître le repos éternel, ce monde meilleur auprès du Seigneur.

Une lumière vive, aveuglante. Impossible d'ouvrir les yeux. Enfin ? Etait-il arrivé auprès du Seigneur de sa mère ? Avait-il enfin quitté cette vie ?
Stephen arriva à ouvrir ses paupières. Une salle blanche. Il était dans une salle blanche. Doucement, il bougea la main dont le poignet avait été largement sectionné par le miroir. Il y arrivait ! Enfin ! Enfin tout était terminé ! Enfin il pourrait maintenant se reposer ! D'un geste, il sauta à terre. Bon. Ses vêtements n'avaient visiblement pas changés mais au diable, il en trouverait sûrement d'autres une fois arrivés ! Un pas en direction du couloir, un deuxième et... Mmmh... Il toucha son front. Il le brûlait, et sa gorge aussi. Pourquoi avoir mal au paradis ?

- Tu es réveillé...

Il fit volte face. Un homme et une femme lui faisaient face.

- Bonjour Stephen, dit simplement l'homme. Nous sommes John et Margareth.

La vue du jeune homme se brouilla. John et Margareth... Ses parents... Ils étaient donc là... Ho... Bien sûr, sa mère ne ressemblait pas à ce dont il se souvenait mais sûrement cela était-ce du à un rajeunissement... Enfin, il ne se posait pas vraiment la question.

- Nous t'avons tant cherché.. Murmura Margareth.

Cherché... Pourquoi ses parents l'auraient-ils cherchés ? Au diable les questions... Stephen tomba dans les bras de sa Mère, implorant son pardon pour toutes ses fautes, toutes ses dérives.

- Je te pardonne. Continua sa mère. Nous te pardonnons car tu es là, notre enfant de la victoire.
- Une chance que nous soyons tombé sur toi avant que tu n'en finisses.

Stephen se sépara des bras de la femme. "Que j'en finisse ?" La question se lisait sur son visage circonspect.

- Nous te cherchions depuis de longues semaines, nous avions entendu parlé d'un enfant né au lendemain de l'armistice, de parents, John et Margareth. Comme nous. L'enfant de notre victoire. Lorsque nous t'avons mis la main dessus, tu venais de t'enfoncer un bout de miroir dans la chaire, assez profondément pour mourir. John a donc pris la décision de te transformer, car nous ne pouvions prendre le risque de te perdre en t'emmenant aux urgences. Et te voilà. D'après une ancienne légende que nous avons entendu, l'enfant de la victoire devait nous apporter force et honneur.

L'explication de la femme semblait, aux premiers abords clairs. Pourtant, Stephen était perdu. Où étaient-ils ? Qui étaient-ils ? Ses parents ? Visiblement pas. Des homonymes seulement... Que s'était-il passé ? Pourquoi lui ? Comment ? Ses deux mains rejoignirent son front. Sa tête... Elle brûlait... L'homme intima l'ordre à la femme de faire quelque chose. Impossible de dire quoi. Impossible de se concentrer. Il avait... Il avait...
Une douce odeur lui chatouilla les narines. Il avait soif. Face à lui, un homme, un ancien ami de LSD avec qui il traînait souvent. Un de ceux qui avaient abandonné le groupe pour retourner gagner de l'argent 'proprement', un de ceux qui l'avait abandonné lui. Stephen ne se fit guère prier, d'un coup de mâchoire, il arracha la jugulaire du pauvre humain hurlant et le vida de son sang en peu de temps.

Après plus amples explications, Stephen compris plusieurs choses. Tout d'abord, il était un vampire, un buveur de sang, un tueur, ensuite que le paradis n'existait pas mais qu'on lui avait donné une nouvelle chance, dans ce monde. Enfin, qu'il était temps, pour lui, de trouver sa voie.

Commença alors sa nouvelle vie nocturne.
Il apprit à tuer, à chasser ses proies, à se servir d'armes. Stephen parvint même à s'enrôler dans l'armée, son goût de l'uniforme dit-il, échappant aux missions de jours, il était l'un des meilleurs éléments de nuits, sans que l'on arrive à comprendre pourquoi. Mais il aimait jouer ce jeu du chat et de la souris. Nombre de batailles furent gagnées grâce à lui. De cadet, il passa à second lieutenant, puis lieutenant et enfin Captain.
"Echapper aux missions de jours"... Difficile n'est-ce pas ? La raison en fut simple : sa hiérarchie directe savait, ou tout du moins ne voulait pas savoir mais avait noté sa condition. Pourquoi ? Voyons. Si vous aviez à votre disposition un homme presqu'invincible, le laisseriez-vous partir ? Bien sûr que non... Vous l'utiliseriez comme l'armée a utilisé Stephen : une machine de guerre, une machine à tuer.

1990.
Sa vie se passait désormais plus tranquillement, de paumé, il était devenu tueur. Sans égard pour la vie d'autrui. Après tout, aucun de ces gens de l'avait ou ne l'aurait aidé dans sa vie d'avant. Margareth et John étaient ses seuls repères, ses seuls amis, sa seule famille. Mais cela n'allait durer.
A l'aube des années 2000 alors qu'il était venu fêter dignement le changement de millénaire, ses "parents" furent attaqué, des lycans. Ils n'eurent le temps de rien. Mordus, ils ne purent voir que quelques instants de l'année 2000, quelques courts instants pendant lesquels leur fils les avait emmené loin de la foule.
Pourquoi ? La même question depuis sa naissance revenait à chaque fois. Pourquoi cela devait il arriver ? Pourquoi à lui ?

2010-2020.
Stephen apprit à vivre sans personne, ne comptant que sur lui même. Il se rendit d'ailleurs compte que la vie était bien plus facile de la sorte : personne pour qui s'inquiéter, personne à qui rendre des comptes. Se développa chez lui une sorte de rejet de l'autres, mais il n'en allait que mieux.
L'épisode de la mort de ses parents lui avait appris que la vie était précieuse, non, non pas précieuse, non. La vie était courte, il devait en profiter. Et surtout, il devait tuer les lycans. Quel qu’en soit le prix, il avait trouvé sa mission : exterminer la race de ces chiens baveux.
La mise au grand jour des créatures lui fut d'ailleurs d'un grand secours car nombre de chiens ne se cachaient désormais plus, tentant de vivre au grand jour. Pfff. Comme si ces créatures auraient un jour une place à part entière dans la société. Ils ne ressemblaient même pas à des humains. Foutaise.
Cette même mise à jour lui permit aussi d'accéder au grade de Major dans la British Army. En effet, sa nature mise à jour - quoique connue de ces supérieurs - lui valut quelques bonnes grâces pour bon travail rendu et efficacité sur le terrain, il faut dire que le statut de vampire était parfait en combat : rapide, fort et presque silencieux pour les humains. Dommage qu'il y ait tant de non humains sur les champs de bataille... Quoique cela lui permit d'agrandir son tableau de chasse.

Là commence l'histoire réelle de Stephen Scott, vampire de son état. Chasseur de Lycan, tueur d'humains, méprisant toute vie en dehors de la sienne.
En 2030, il arriva à Londres où il s'installa et passa au grade de Major de la British Army. Deux ans passèrent, entre conflits armés et permissions durant lesquelles il n'observait ni foi ni loi. Deux ans avant de retourner au combat, au Yémen, pour plus de dix mois.

Dix mois qui se transformèrent en trois ans alors que du Yémen il fut appelé en Irak. Et enfin, la permission vint. Que faire ? Partir. Pourquoi ? La réponse était simple... Il n'avait plus de pied à terre en Angleterre. Pourquoi ? La question était beaucoup moins simple. A vrai dire... A force de conneries, l'homme avait été... Exclu... De tous les bars. Plus d'endroits où s'amuser, c'était le moment de quitter l'Angleterre. Radical, mais au moins, aux US, personne ne le connaîtrait. Il pu, d'ailleurs, intégrer l'US Army et conserver son grade de Major. Mais à LA, il va maintenant devoir faire ses preuves... Et faire en sorte de ne pas être banni partout.

Derrière l'écran


Pseudo : Elenwë
Âge : J'ai toujours pas vieillit, heureusement
Comment as-tu connu ANO ? : Fondatrice
Crédits Avatar : OC Gerry
Un petit mot pour la fin ? : ♪
Anonymous

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Dernière édition par Stephen Scott le Jeu 5 Aoû - 15:43, édité 1 fois
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You did it ! Comme ils disent à L.A. ! Bravo ! Ta fiche est officiellement validée et tu as fait là une grande partie du chemin !
Nous t'avons d'ores et déjà installé une partie rien que pour toi, où tu pourras laisser libre court à ton imagination. Mets y ce que tu veux concernant ton personnage, c'est ta partie !

Mais avant de RP ou de poster une demande de RP, voici quelques petites choses à accomplir afin que tu sois pleinement inscrit dans les registres de Los Angeles :

- Recenser ton prénom et ton nom
- Recenser ton avatar
- Faire ta demande de logement (voir de commerce si besoin en était)
- Remplir ton profil afin qu'il soit complet

Ces choses faites, tu seras libre de faire ce que bon te semble ici ! N'oublies pas qu'il existe une section de recherche de liens où tu pourras poster tes liens recherchés.

Bon courage et bon RP parmi nous !
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