AccueilAccueil  FAQFAQ  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  Devenir partenaireDevenir partenaire  Wikipedia d'ANOWikipedia d'ANO  Rejoignez-nous sur Discord !Rejoignez-nous sur Discord !  Changer d'utilisateurChanger d'utilisateur  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : ...
Voir le deal

 

 [EVENT HALLOWEEN] La danse des canards [ft. Lexie]

Aller en bas 
Musique d'écriture
Tu te réveilles, la tête dans le coaltar. La nuit a été plutôt courte, surtout agitée. Tu t’es fait vacciner la veille, pas forcément de gré mais bon : ce qui est fait n’est plus à faire. Tu aurais aimé avoir une soirée et une nuit tranquilles, pour te reposer et repartir de plus belle … Mais ce fut sans compter ta nuit de garde. Alors, un peu trop comme à ton habitude, tu as squatté une pièce de rangement inoccupée – et loin des internes en rut. Ce qui t’a permis de retrouver un peu d’énergie, pour passer ce que tu espères être une bonne journée.

Oh, elle va être bonne la journée.
Mais peut-être pas pour tout le monde.

Tu t’habilles plutôt machinalement, prenant surtout soin de ne pas t’emmêler les pieds dans ton pantalon. Une petite sacoche à la main, tu déambules dans les couloirs pour aller faire ta toilette. Et tu remarques les regards, mi-amusés – mi-inquiets, quand tu passes. Oui, tu sais que tu en imposes et que tu as une belle carrure ; on te l’a déjà fait très, très lourdement remarquer. Mais ça fait longtemps que ça n’a pas été aussi évident.

Aurais-tu – de nouveau – oublié de mettre ton haut avant de quitter la pièce ?

Nope, tu le portes bien. Tu arrives dans les vestiaires et files te brosser les dents. Ce n’est qu’en recrachant le dentifrice que tu croises ton regard. Et que tu comprends, enfin. T’en tires un tronche, August, t’as vu un mort ?

Tu hurles un juron fort déplacé et inhabituel. Mais ce qu’il l’est encore plus, c’est quand tu t’entends partir bien trop dans les aigus. Bordel, qu’est-ce qu’il t’arrive à la fin ?! Tu files trouver Hatkins, qui peine à garder son sérieux ; bien que professionnel au possible.

- Et tu n’avais rien hier ? Ni lors de ta garde ?

Tu fais signe de la tête, n’ayant pas vraiment envie de l’ouvrir et lui donner une nouvelle occasion de se fiche de toi. Il t’ausculte soigneusement, équipé de gants et de tout l’appareillage. D’un air rassurant, il poursuit.

- La bonne nouvelle, c’est que ça n’a pas l’air contagieux. Et que tu te portes bien, j’aurais peut-être du commencer par là.
- La mauvaise ?
- Pff ! Désolé. Euh la mauvaise, c’est que nous avons quelques patients avec des symptômes aussi soudains qu’étranges, qui sont arrivés. Et qu’on va avoir besoin de tout le personnel pour faire le tri.

Tu as juste envie de rentrer chez toi, ou dans ton placard … Mais il y a du travail. Tu ne peux rater les drôles de regards qu’on pose sur toi, mais rapidement c’est le tien qui n’hésite pas à se poser sur certains dans la salle des urgences. Visiblement, tu n’es pas le seul à avoir eu un sale réveil.

Alors que tu es occupé à ausculter le premier de tes patients, tu une étrange et soudaine sensation. Du coin de l’œil, tu surveilles les alentours ; circonspect.

Hé, August …
T’as cru voir un ‘rominet ?
Anonymous

Infos
Annexes
HRP

And I dance dance dance ♪
La danseuse et le graaaaand canari
Pourquoi ça faisait si mal les vaccins ? On m’avait dit que j’avais pas le choix, alors j’y avais été. Mais on m’avait pas dit que ça faisait si mal. Sinon j’y serais pas allée. Mais bon du coup, j’y avais été. Et puis en me réveillant ce matin, il m’était pris une drôle d’envie de danser. D’ailleurs même si j’avais pas eu envie, mes jambes, elles, voulaient danser. Hé ! Si ça se trouve, dans ce vaccin, on m’avait implanté une puce 25G ! Ce truc dont ils parlaient y a pas longtemps !

Alors du coup…

Bah j’avais dansé. Ouais rien que ça. J’avais quitté ma chambre en dansant, j’avais été déjeuner en dansant, et j’avais même renversé tout mon chocolat sur l’alpha en dansant ! Pendant une heure, ça m’a pas vraiment déplu, j’aimais bien danser, j’aimais bien bouger dans tous les sens, me défouler en fait, alors ça me faisait même plaisir, mais après… J’en ai eu marre, alors j’ai voulu m’asseoir. Mais rien à faire ! Mes jambes dansaient toutes seules !

- Il va falloir aller consulter Lex… Me souffla doucement une gentille louve des Pawnees sous mon regard hébété.
- Ah non ! Maman et Papa ont été consulté leur gourou et j’ai fini enfermée dans une cave ! J’irais pas ! Je continue à danser !

Et pour prouver mes dires, je me relevai, allant mettre un peu de musique pour danser quand…

- Hé je danse plus… Ah bah voilà ! Un sourire victorieux face à la louve et je croisai les doigts. Pas de cave !

Traumatisée ? Moi ? Non. Jamais ! J’étais libre comme un petit oiseau mignon qui chante tout plein !

- Tu sais très bien qu’on ne te réenfermera pas… Me dit alors la louve en quittant les lieux. Mais parfait dans ce cas. Je reviendrais plus tard.

Aaaah ! Enfin seule ! Enfin non je l’avais été un certain temps mais là je voulais bien être seule et potentiellement sans musique. Et c’est pourquoi, j’arrêtai ma « chènifi ». Je savais pas trop comment ça s’écrivait, mais on m’avait dit que ça s’appelait comme ça alo…. MAIS NON ! Mais pourquoi d’un coup je redansais aussi… Je voulais plus danser ! Mais d’un autre côté je voulais pas non plus devoir être enfermée dans une cave après avoir été consulter alors… Je décidai de me taire. Et cela pendant plus de… une heure. Mais au bout de une heure, est-ce que vous savez que les jambes commencent à fatiguer ? Et comment j’allais dormir moi ce soir ? Et puis cet après-midi je devais apprendre à faire de l’ordinateur, comment j’allais pouvoir en dansant ?
C’est donc à contre cœur que j’appelai la gentille louve qui voulait m’enfermer mais pas m’enfermer et qui décida donc de m’emmener droit à l’hôpital.
Arrivée, enregistrement, assis. Ah non pas assis, je dansais. Bon. C’était pas grave. A la place de m’asseoir, je dansai encore dans les couloirs, sous le regard amusé d’à peu près tout le monde. Comme par hasard. Bon… Quitte à amuser la galerie. Ondulant comme une algue dans l’eau alors que mes jambes faisaient ce qu’elles voulaient, je continuai d’arpenter l’hôpital. Encore… et encore… et encore… et enc… BOUM.

Mince ! L’algue avait rencontré un rocher ! Et quel rocher ! Un monsieur ! Grand ! Super grand ! Et avec une blouse… Un docteur ?

- Désolée monsieur… Dis-je d’une petite voix. Je faisais l’algue.

Une algue qui continuait de vouloir avancer visiblement car même les fesses par terre, mes jambes remuaient sans cesse.

- Vous avez un médicament contre l’alguissement de mes jambes ? Et pas un vaccin s’il vous plait…

(c) sweet.lips
Anonymous

Infos
Annexes
HRP

- Ouvrez la bouche ...
- Faites Aaaaaaaaaargh ...

Tu auscultes à la chaîne, ne comprenant pas trop ce qui se passe. Clairement, ça sent les effets secondaires indésirés ; vu le nombre de personnes concernées. Pour le même vaccin, surtout. La prochaine fois, tu attendras un peu avant de jouer les volontaires.

Le plus étrange, c'est quand tu utilises ton don, pour essayer de trouver la source du mal. Il n'y a rien. Rien qui leur cause la plus petite douleur, ou qui puisse expliquer la réaction du corps. Certains viennent avec la réponse - ou le palliatif - en mains et, après examen, tu ne peux que les renvoyer chez eux.

Ça te laisse un goût amère en bouche, de ne pouvoir trouver la solution. Ou même comprendre la raison. Après deux bonnes heures passées à ausculter, tu as besoin d'une pause. Tu as faim, mais pas trop. Tu envisages de piquer un paquet de cacahuètes ou autres trucs salés, ayant une soudaine envie de graines de tournesol. Le pire ? C'est que tu ne te rends même pas compte de ces soudaines exigences alimentaires.

Un peu trop dans ta tête -ou déjà à penser avec ton gosier - tu te prends le choc frontal avec une gamine. Enfin, vu le gabarit, c'est elle qui en souffre le plus et tombe à la renverse. Elle semble - heureusement - indemne, même si tu vois qu'elle n'a pas l'air très nette elle non plus. Tu veux tenter de t'excuser, ou être sympa ... Quelque chose, quoi. Mais ça ne vient pas. Alors tu te demandes ce que ton collègue dirait ...

- Mhm ... Quel sorte d'algue ? Il y en a beaucoup ...

Le collègue en question serait déjà mort de honte - ou de rire - s'il t'avait entendu ! En attendant, la demoiselle te calcule rapidement et profite de l'opportunité pour s'accorder une consultation en moins de deux. Rapide ! Vu les symptômes et le mot gagnant du jour, tu ne peux que soupirer en comprenant que ce sera une longue journée. Pour tout le monde.

- Depuis combien de temps avez vous un ... Alguissement ... De vos jambes ?

Tu l'aides à se relever, puis s'asseoir sur une chaise haute ; afin qu'elle puisse faire ... Ce qu'elle veut de ses jambes, en toute liberté. Sans se balader, ni taper dans les médecin jaune-poussin. Le jet d'invocation de ton collègue a du fonctionner, car tu le vois passer dans le couloir, un éternel sourire aux lèvres.

Un sourire très très large, presque un rire. Et une lueur malsaine dans le regard. Ça craint, August. Tu veux pas te faire pousser des ailes et prendre la poudre d'escampette ?

- Ah, August ! En te voyant tout jaune, j'ai pensé à un truc !
- C'est pas le moment, Hatkins ...
- J'en ai pour une minute !
- Je suis occupé, avec une patiente ...
- Ah, oui ! Bonjour ! Je disais donc, August ... On trouve que t'as un teint ...
- ON ?!
- Euh ... Quelques personnes du service ... Bon ! On se demandait si tu connais ce petit air ...


Et il se met à siffler. Plutôt bien, le bougre. Tu l'entends surtout se foutre de toi, sifflant tout en se retenant d'exploser de rire.

- Oui, je le connais. Ça te va ?

Parce qu'il croît que ça va t'atteindre ? Un petit peu, pour être honnête, vu qu'il se moque de ta condition. Ce que tu remarques, en revanche, c'est l'effet sur les symptômes de la demoiselle.

- Hatkins, arrête.
- Mais pour ... Oh ...
- Reprends.
- Avec toi, alors !
- Hatkins ...
- Sinon tu le fais tout seul !

Mais quel gamin ! Puisque c'est pour le bien de la patiente, tu te mets à ton tour à siffler l'air bucolique. Entre deux respirations, tu demandes à la demoiselle :

- Vous savez siffler, vous aussi ?

Sur une échelle de 1 à 10, à combien vous tendez vers le ridicule absolu ; selon l'ordre des médecins ?
Anonymous

Infos
Annexes
HRP

And I dance dance dance ♪
La danseuse et le graaaaand canari
Quelle sorte d’algue ? Heu… Bah… Mon regard en disait long : je n’en savais rien du tout. Mais je cherchais ! J’avais lu des choses sur les algues pendant ma captivité, j’en connaissais certaines, je le savais et d’ailleurs, il me fallut seulement deux minutes et demies pour trouver le nom de la première d’entre elle.

- Une trentepohliaceae !

C’est qu’il sortait de très loin ce mot ! Mais je l’avais retrouvé, et j’en étais très fière ! Si fière que j’en oubliai même ma chute sur les fesses, celle-ci me revenant pour autant assez rapidement en mémoire. Grimaçant, je me frottai le derrière en me relevant avec l’aide du médecinari, un médecin canari, le sourire aux lèvres et… Toujours la bougeotte aux jambes. M’installant sur une chaise haute, je bougeai sans discontinuer en réfléchissant à la question du gentil docteur.

- Heu… Depuis le vaccin ! Dis-je soudainement comme si ma mémoire me revenait. Depuis que je me suis vaccinée et quelques heures après, j’ai dormi entre temps, et depuis, je danse comme ça, comme une algue.

Cette fois, ce fut une grimace qui apparut son mon visage alors que je devais bien avouer en avoir un peu marre de cette danse sans fin.

- Et vous alors ? Demandai-je soudainement, un peu plus radieuse. Vous, ça fait combien de temps que vous êtes tout jaune ? C’est naturel ? Comme les chinois mais plus flashy ?

Mes questions étaient très loin d’être malveillantes, bien au contraire, des questions de curiosité alors que je m’intéressais réellement à la vie de ce médecin. Après tout, c’était pas courant de tomber sur un médecin jaune canari !

Mais voilà qu’au lieu d’une réponse, c’est un sifflement qui m’arrêta, tout bonnement. Observant, interloquée, le nouveau médecin siffler, je clignai des yeux avant d’observer mes jambes, immobiles. Immobiles, mais pas pour longtemps car à peine eut-il arrêté, qu’elles recommencèrent leur petite danse, me faisant largement soupirer. Avant que… Le médecinari lui aussi se mette à siffler ! Et tellement bien ! Un vrai canari ! Un beau canari jaune ! D’ailleurs, j’aurais eu des feuilles et un crayon je lui aurais dessiné des ailes tellement ça lui aurait bien été ! Et le pire dans tout ça, c’est que ça fonctionnait ! Je savais que la musique me faisait arrêter de danser ! Je l’avais deviné ! C’était d’ailleurs embêtant… Comment je dansais moi si je pouvais pas bouger facilement sur la musique ?... Zut ! Il aurait fallu l’inverse !

- Heu…

Siffler… Siffler… J’avais jamais essayé… Alors… Mettant mes lèvres comme il fallait, comme j’avais pu le voir sur les deux médecins, j’essayais… Sans résultat. Je ne faisais que souffler fortement. Mon regard, dépité, se posa alors sur le canari.

- Comment vous faites ? Dis-je désespérée. Je veux siffler comme vous, comme un petit oiseau ! Vous êtes le Docteur des Oiseaux en fait, non ? Vous savez leur parler ? Ils vous disent quoi ? Et vous pouvez m’apprendre à leur parler aussi ? S’il vous plaaaaiiiiit !

(c) sweet.lips
Anonymous

Infos
Annexes
HRP

Tu n'es même plus surpris, quand tu l'entends parler du vaccin. Il n'empêche que ça reste un cas de plus ; un cas de trop. Et que de tous ceux que tu as recensés jusque-là, la pauvre en tient une sacré couche. Tu es surpris par sa répartie et réfléchis sérieusement à la question. Oui, tu as réussi à interpréter littéralement un commentaire qui serait passé pour une pique raciste ; auprès de n'importe qui d'autre. Heureusement, avant que tu n'aies le temps d'y trouver un élément de réponse - sûrement plus horrible que la question - vous êtes interrompus par Hatkins. Et son sifflement des enfers.

Un instant, tu te demandes lequel des deux est le pire. Surtout quand la patiente remet ta propre condition sur le tapis. Tu vois le regard de ton collègue, son engouement soudain et tu sais qu'il va sortir une connerie.

- C'est une idée très intéressante, en effet ! N'est-ce pas, August ?

Même si l'un de vous doit continuer à siffler, tu prends une petite seconde pour reprendre ton souffle et lui glisser un déterministe
- Non.

- Mais si ! Il y a un vétérinaire pas très loin. Je pourrais lui demander s'il a des canaris et on pourrait valider cette hypothèse ! Imagine que ça marche vraiment ? Ce serait merveilleux et ... Tu vas où ?

Est-ce que tu viens de craquer, August ? Que la demoiselle joue les ingénues ; en temps normal, pourquoi pas. Mais tu es fatigué, sur les rotules et tu te prends en plus la taquinerie de ton collègue. Que tu interprètes comme un véritable manque de respect. Lui prend sûrement ça comme un jeu, mais tu n'as ni la patience ni l'énergie, de t'accommoder de sa bêtise.

Alors tu arrêtes de siffler. Et tu l'informes, aussi froidement que tu sens qu'il te faut prendre de la distance.

- Je te laisse t'occuper de la patiente. D'autres patients ont besoin d'un médecin et ce n'est pas ton humour qui les aidera.
- Mais tu ne peux pas me laisser avec ...
- Tu sais siffler, Hatkins. Tu n'as qu'à lui apprendre.

Tu tournes littéralement les talons et files à l'autre bout du service des urgences. Ton collègue, penaud, comprend enfin qu'il est allé un peu trop loin. Mais qu'il doit d'abord s'occuper de la jeune femme. Alors, avec tout son sérieux et cette passion qui lui est propre, il commence à lui expliquer :

- Alors ! Pour bien siffler, il faut ...

De ton côté, tu profites de quelques minutes de calme relatif pour prendre l'air. Si tu étais fumeur, tu poncerais sûrement la moitié du paquet pour passer tes nerfs. A la place, tu te contentes de fermer les yeux et te concentrer sur le silence. Jusqu'à ce que tu entendes des bruits d'ailes ainsi que des commentaires aussi déplacés que douteux.

Tu ouvres les yeux et te prépares à donner la répartie du siècle à la personne si mal élevée, quand tu te rends compte qu'il n'y a personne. Entendrais-tu des voix, à présent ? Ce n'est que lorsque tu entends que ça parle de pain rassi, que tu trouves l'origine de ce brouhaha. Et les deux pigeons qui béquettent les restes d'un sandwich, loin de s'imaginer que l'humain moyen les écoute avec attention.

Tu devrais vraiment retourner te coucher.
Anonymous

Infos
Annexes
HRP



Infos
Annexes
HRP

 
[EVENT HALLOWEEN] La danse des canards [ft. Lexie]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Première danse | Ft. Sofia
» [EVENT HALLOWEEN] Guns N' Roses [ft. Zack]
» Du rififi chez les Pawnees [Lexie et ceux qui veulent]
» [Event Halloween]Politesse et Pierre de sang[ft Grenat]
» [EVENT HALLOWEEN] Vamos a la playa by night (Liam & Katyusha)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
A New Order :: Les RP terminés-
Sauter vers: