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 Boris Joukov à votre service.

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2 participants
Prénom Nom


Identité


Prénom(s) : Boris
Nom : Joukov
Surnom(s) : Le Vénère
Date de naissance : 17 octobre 2005
Âge : 30 ans
Genre : Homme
Nationalité : Russe
Race : Humain

Informations


Groupe : Ordre
Rôle : Milice
Métier/Etudes : Inspecteur / Corps des cadets d'Omsk (Ecole militaire Russie)
Orientation : hétéro


Descriptions

Physique


Taille : 1M83
Poids : 92 Kg
Yeux : Gris bleuté
Cheveux : Maron châtain
Signe particulier : Un trait net au niveau du sourcil gauche, une légère cicatrise. D'autres marques de blessure visible un peu partout sur le corps, que ce soit le dos, le torse, les cuisses et les bras

Que dire sur ma personne ? Je suis un homme d’un mètre quatre-vingt-trois pour quatre-vingt-douze kilogrammes. Mon visage a une forme ovale à la mâchoire bien tracée pour ne pas dire carrée. Ma chevelure est épaisse, la plupart du temps coiffée en arrière à la va-vite avec quelques épis à l’avant. Je m’assure toujours que la longueur des cheveux ne devient pas un problème pour ma visibilité, même mouillée. Mes sourcilles sont bien prononcés, mais malgré tout taillés proprement et légèrement fléchés vers le haut ce qui accentue quand je lève mon sourcil lorsque je suis intrigué ou surprit. Mes yeux sont d’une couleur claire, d’un gris bleuté. Ce sont des yeux des plus classiques, à l’occidental si on peut dire. On m’a toujours dit que j’avais un regard méfiant, pénétrant un peu menaçant lorsque j’ai des cernes. On n’arrive pas à voir à quoi je pense et si mon attention est amicale, passive ou hostile lorsque je vous regarde et fixe. Je me rase au rasoir électrique ce qui fait que je n’ai jamais la peau lisse, mais qu’il y a toujours une trace de ma barbe visible sur mon visage. Par contre, si pour une raison quelconque, je ne me rase pas pendant un certain temps, je peux avoir une barbe aussi bien garnie et épaisse que mes cheveux. Mes anciens camarades de caserne m’appelaient « le vénèrent » à cause de mon tempérament lorsque ma patience a été usée et « L’ourse vénère » quand j’avais une bonne barbe.

Ma silhouette générale est celui d’un homme en bonne santé, qui peut faire un peu plus vieux pour son âge et qui s’entretient un minimum. Une apparence robuste avec les épaules qui descendent un peu. Je fais partie de ces individus qui, quand il remonte ses manches et commence à se faire craquer les doigts, tu te dis que si tu te prenais une claque de ma part, ça risque de piquer un peu.

Ma posture est droite, ma démarche est nonchalante, mais c’est trompeur. Je peux me montrer vif même si, par ma carrure, je manque de souplesse. J’ai plus tendance à encaisser les coups qu’à les éviter, bien sûr éviter, c’est mieux et si je peux, je favoriserais cette technique, mais je ne suis pas un ninja.

Mon style vestimentaire est d’un classique. Je suis un homme à chemise et à jeans ou pantalon, aux chaussures de ville ciré. Je mets en avant les habits confortable et pratique. Les couleurs doivent être simples et pas flash comme le noir, le blanc, le brun, le bleu, le beige en général et bien sûr pas des habits moulants, je n’aime pas et ça m’énerve, les vêtements qui collent à la peau et qu’on n’a pas de liberté de mouvement.

Au travail, c’est une autre histoire. Lorsque je sors en intervention ou en patrouille, je suis le parfait CRS. Car je peux dire, vu ce qui se balade dans la rue ces derniers temps, sortir en mode civile avec un petit kevlar et un pistolet à eau ça me fait bien rire. Tu sais quoi ? Autant de te badigeonner de sang humain et te balader à poil dans la rue la nuit, ça revient au même. Enfin bref, divergence d’opinions, je préfère porter une bonne protection intégrale même si je dois perdre de la souplesse et de la mobilité que de me retrouver avec un gilet pare-balles face à un vampire ou lycan, qui sont les plus casse-pieds, à mes yeux, à arrêter.
         
J’ai souvent l’apparence d’un homme calme, patient, c’est peut-être juste une image, toujours se méfier de l’eau qui dort. Ah oui, je me balade toujours avec mon holster en cuir portant mon pistolet Oudav.                


Caractère


Loyale – Protecteur – Calme la plupart du temps – Fier peut être un peu orgueilleux – Sarcastique – Opportuniste – Provocant – Têtu – Persévérant – Résistant - Vénère – Belliciste – Ordonné – Prévoyant – Méfiant – Un peu colérique dans les situations désastreuses – Confiant – Optimiste – Nerf d’acier selon la circonstance – Sens du devoir – Solitaire – Idéaliste – Brute.

Peur(s) : L’échec, la trahison, perdre son humanité.
But(s) & Rêve(s) : Botter les fesses de ceux qui regardent un peu trop de haut les humains, mettre hors d’état de nuire les éléments trop perturbateurs, rétablir un semblant de sécurité. Qu’on me fiche la paix

Je suis une personne tranquille et calme d’apparence. Je laisse peu de signes extérieurs de ce que je ressens ou pense quand ça va bien. Je garde une expression sévère la plupart du temps. Le monde ne m’étonne plus vraiment. J’ai l’impression de voir toujours la même chose, d’avoir fait le tour. Je n’attends et n'espère rien des autres. Comme j’aime le dire, l’espoir est le premier pas vers la déception. Je dois avouer que quand la menace est tellement visible et prévisible, que je préviens ceux qui m’entourent, qu’on me dit que m’imaginent des choses et qu’en fait, c’est moi qui avais raison et que je me retrouve dans une situation délicate à cause de la bêtise des autres, j’ai tendance à m’énerver. Je ne suis pas quelqu’un qui extériorise ses ressentis. J’ai tendance à le garder pour moi. Je vais plutôt serrer les poings, les dents, soupirer profondément en me pinçant le haut du nez en baissant la tête pour canaliser tout ça. Par contre à un moment donné, si quelqu’un fait trop le malin pendant une intervention et que je sois dans un état de nerf élevé, celui-là, il va prendre pour tout le monde. Avant d’en arriver là, j’ai l’habitude de prévenir trois fois les individus pour essayer de résoudre les choses de façon calme et diplomatique. Tu refuses mes trois avertissements ou demandes, c’est que tu as choisi l’option numéro deux qui consiste à utiliser la manière forte. À mon plus grand plaisir, les spécimens dans la nature qui posent problème sont plutôt résistants. On peut y aller sans trop de retenue, il y a peu de chance que ça nous claque entre les doigts.  
   
Ma patience à ses limites. Plus ou moins grande selon la situation. Il faut savoir que les provocations auront que peu d’effet sur moi. Par contre, la bêtise humaine ça a tendance à vite m’irriter. La lenteur de décision, les décisions suicidaires ou une mauvaise analyse du danger parce que l’autre se prend pour Rambo ou parce qu’il s’est fait séduire ou manque de volonté pour faire ce qui doit être fait, si je pouvais, je mettrais une balle dans la tête à mon coéquipier incompétent ainsi qu’à notre cible. Tu veux mourir en faisant n’importe quoi ? Fais-toi plaisir, mais ne me mêle pas à tes affaires et meures toi et ta bêtise.            

Malgré tout ça ! Je prends soin et je protège au mieux ceux qui m’accompagnent au travail, qu’importe qui tu es et ce que tu es, même si ma méfiance monte d’un cran quand je suis avec des non-humains. Je ne donne pas ma confiance aux autres, pour l’avoir, il faudra se montrer d’une grande patience. Mais je n’ai pas besoin de te faire confiance, de te connaître ou que nous nous entendions pour que je m’assure de ta survie si c’est ce qu’on me demande. Tu pars en mission avec moi ? Je ferais mon possible pour te ramener même si je dois avoir un ulcère. Une personne est en danger ? Je vais intervenir et l’aider. Un collègue en danger ? Je me métrais entre lui et le danger pour prendre les coups. Après le travail, par contre, ça peut être autre chose. Je vois bien assez les collègues au travail, faire des activés comme boire un coup, aller au restaurant ou partir en vacances ensemble, c’est négociable selon ma motivation.

Je suis un solitaire, j’apprécie la tranquillité, le calme, me retrouver seul pour me détendre, réfléchir, méditer, me revigorer. Cela ne m’empêche pas d'être un minimum social, discuter, rigoler, avoir des conversations détendues comme sérieuses. Je supporte d'être en groupe et j’apprécie la solitude. Ça ne veut pas dire que je ne peux pas m’attacher aux autres et apprécier leur présence. C’est que ce n’est pas naturel chez moi, c’est beaucoup de travail pour moi. Il faut savoir que si par chance, je t’accorde ma confiance et que tu me trahis, perd tout espoir. Il n’y aura aucun moyen de recréer cette confiance. Tu peux me décevoir, me blesser, me rendre la vie dure tant que ce n’est pas purement volontaire. Personne n’est parfait, on fait tous des erreurs, des bêtises, je conçois, je comprends. Mais faire quelque chose dans le but de nuire, sachant très bien ce que tu fais, que c’est préparé, calculé, volontaire, là par contre ça ne passe pas. Attends-toi à des conséquences. Nous sommes tous libres de faire ce qu’on veut en réalité, tu es libre de respecter la loi et les personnes comme faire toute l’inverse. Rien ne te l’empêche. Par contre, il y a les conséquences derrière si tu te fais attraper et la pitié n’est pas ma plus grande qualité. Tu me cherches ? Tu vas me trouver, ça, c’est sûr.
         
Pour finir, j’aime mon travail, j’aime ce que je fais. J’ai des principes, des règles qui me donnent une ligne de conduite. Je crois en la cause de l’ordre, du moins sur ce qui est sur le papier. Je pense que c’est l’outil le mieux adapté à notre situation actuelle. Je sais me montrer loyal en ce que je crois et tant que c’est conforme à ma vision. Je sais que certaines choses doivent être faites pour le bien commun, le bien du plus grand nombre, même si ça peut être, comment dire, remise en question, mais ce que nous faisons nous, c’est pour éviter que quelqu’un d’autre n'ait besoin de le faire. Certaines personnes ne changeront jamais et il vaut mieux qu’il soit mis hors d’état de nuire définitivement que de les laisser à exister. Suis-je prêt à prendre des décisions difficiles ? Oui sans aller dans la monstruosité. Je ne suis pas sadique, la torture n’est pas forcément ma tasse de thé. Je suis plutôt ouvert aux drogues pour interrogatoire, à la menace, à l’intimidation, un peu de brutalité et pour finir une exécution sommaire si besoin. Je précise, c’est ce que je suis prêt à faire si la situation l’exige. Je préfère trouver une solution diplomatique ou alternative avant d’en arriver là.

Je peux être un très bon collègue ou amis comme je peux être ton pire ennemi. Je n’ai pas peur de le dire, s’il le faut, ça sera la victoire ou la mort


Annexes

Compétences, Connaissances & Spécialités éventuelles


- Maniement et entretient de la plupart des armes à feu utilisé dans l’armée.
- Administré les premiers secours sur le terrain.
- Maniement des armes de défense au corps-à-corps (matraque, poing américain, taser, baïonnette.)
- Maniement de la boxe anglaise.
- Pratiquant des interrogatoires musclés.
- Parle le Russe, l'Anglais et le Français mais avec un fort  accent de son pays.

Intérêts & Loisirs


- J’apprécie l’histoire, les musées. Pour comprendre une nation, une culture, il faut regarder ses origines et son vécu pour pouvoir mieux interpréter et comprendre.
- J’aime la bonne cuisine, le bon vin et donc les restaurants avec un minimum de standing.
- Boire un bon verre dans un bar quelconque après le travail.
- Je profite de mon temps libre pour me balader, découvrir, que ça soit en ville ou en forêt, prendre l’air.
- Lire le journal pour me tenir au courant des actualités.
- J’adore les animaux en général et les zoos.
-Joue de l’accordéon.

Avis sur le monde extérieur


Le monde a du potentiel. Je pense que la plupart des personnes peuvent avoir sa place dans la société. Il faut juste de l’encadrement et séparé des éléments utiles des inutiles. Pour arriver à cela, il est primordial que les gouvernements humains du monde entier s’assurent de la stabilité et du contrôle.

Il faut être réaliste, il faut faire avec ce qu’on a et quand je dis ça, je parle de nos « amis » non-humains. Ça serait un mensonge de dire que j’ai une vision égalitaire pour tout ce beau monde. Je connais la nature humaine en partit vu que j’en suis un et un éveillé, c’est juste un humain particulier. Je sais donc qu’il faut se méfier d’eux, car nous sommes capables du meilleur comme du pire. Les esprits et les anges me laissent perplexe. Je n’arrive pas toujours à les cerner et du fait que ce ne sont pas des humains, je reste prudent avec eux, ce ne sont pas les pires non-humains. Là par contre, nous allons parler des trois dernières races restantes dont ma méfiance, ma vigilance et ma rancœur de mes mésaventures avec eux sont au plus haut niveau. Pour moi, ce sont les trois les plus difficiles à maîtriser lorsqu’il pose problème. Une trop grande résistance, une trop grande force et pour les démons leur nature un peu trop chaotique. J’évite de faire des généralités et je sais que mon jugement est dû à une mauvaise expérience professionnelle avec eux quand j’étais en Russie. Mais c'est ancré dans l'esprit. Je ne serais pas tranquille en la présence de ces trois races. Ils sont dangereux et imprévisibles, il faut les surveiller et ne pas hésiter sur les moyens en cas de problème avec eux.

Votre Histoire

Vous voulez que je vous raconte ma vie ? Vous n’avez rien d’autre à faire ? A priori non. Je préfère demander, on ne sait jamais. Dans ce cas, laissez-moi vous raconter une partie de mon existence.

Tout commence dans la ville où je suis né. La ville est Omsk, elle est située dans la région de la Sibérie de l’Ouest. Nous sommes dans l’hôpital du centre-ville. En ce jour du 17 octobre 2005, je suis né et je fus abandonné. Vous allez me dire que ça commence bien. Je n’avais rien remarqué. Je me suis retrouvé entre les mains de l’état. À partir de maintenant, c’est l’état de Russie qui allait prendre en charge ma santé, mon éducation, jusqu’à me donner mon nom et prénom. Je n’ai pas à me plaindre, je n’étais pas abandonné dans la rue. J’avais un toit, des habits, à manger et plus tard une éducation.

C’est une bonne expérience de vivre en communauté, en groupe dans un orphelinat d’état. La diversité était surprenante que ça soit racial ou bien du milieu social. Il y avait les abandonnés comme moi ou ceux qui avaient perdu leur proche dans un accident ou meurtre. On avait des pauvres et des moins pauvres. C’est sûr qu’il n’y avait pas de personnes de la haute société parmi nous. Je me souviens que nous étions séparés en plusieurs groupes et classes. J’étais dans une classe mixte où il n'y avait que des humains alors que d'autres étaient dans des classes multiraciales soit mixtes ou pas. En fait, nous étions trillés à force que les années passaient. Nous subissions différents tests, que ça soit dans la connaissance générale, compétence physique et psychologique, notre manière de réagir en groupe et face à des situations comme lorsque des disputes et bagarres se produisaient. Bien sûr, c’était sous surveillance de nos tuteurs. Je me rappelle les cours d’histoire. J’adorais voir à quel point l’homme était capable de bâtir des empires avec rien au départ. Des hommes du peuple qui avec quelques mots et gestes pouvait changer le visage de l’humanité. Mais aussi la nature humaine qui peut radicalement s'opposer. D’un côté, le défenseur du bien commun et de l’autre le monstre assoiffé de pouvoir et de sang. Le plus tragique, c’est que souvent, on commence par être un héros et avec le temps, on devient le monstre qu’on combattait à l’époque, quelle ironie. Ça peut faire réfléchir.

De mon enfance jusqu’à mon adolescence, j’étais quelqu’un d’assez calme, discret qui appréciait d’être dans son coin tranquille sans personne pour l’embêter. Ce n’était pas si mal, car certains tuteurs avaient remarqué que je ne faisais pas de vague tant qu’on ne me cherchait pas. Par contre, le cas contraire faisait que j’étais souvent dans les discussions musclées. On me donnait un coup, je lui en rendais deux et ainsi de suite. Il fallait nous séparer dans la plupart du temps. Je n’étais pas victorieux à chaque fois hélas. Chaque problème pouvait avoir une solution et j’observais jusqu’à en trouver une. Je me rapprochais de ceux qui avaient le même problème avec la même personne. On trouvait un accord et on se chargeait du problème. Ce qui était original, c’est quand j’étais en position de force que je préférais utiliser l’intimidation que la violence. Ce qui permettait de résoudre certains conflits sans trop attirer l’attention de nos surveillants. Mon caractère et mon profil psychologique ont été grandement influencés par les cours d’histoire de la Seconde Guerre mondiale. La révolution d’octobre 1917, la création de l’URSS, de l’idéologie politique. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est comme si mon cœur s’était mis à se serrer et une sensation de chaleur parcourait mon torse. Il m’arrivait de laisser couler une larme lorsqu’on racontait l’esprit de sacrifice de certains soldats et officier de l'Armée rouge. Je ne comprenais pas pourquoi ça me touchait autant. Est-ce que le fait de ne pas avoir connu de famille, je voyais à travers la camaraderie et l’idéal un genre de famille de substitution ? Il ne faut pas oublier que c’était un orphelinat d’état et que les écoles étaient aussi des écoles publiques donc d’état. On avait droit à chaque jour notre lot de propagande. Le problème, c’est quand tes tuteurs et professeurs te rappellent, que tu as été abandonné, que l’état t’a pris en charge et sauvé la vie quelque part, il est difficile de dire que c’est faux. En-tout-cas, on m’a appelé le petit soviet. Je savais bien que l’URSS et l’idéal qui allait avec avaient disparu depuis 1991. Mais c’était un héritage que j’acceptais bras grand ouvert malgré les points noirs qui entachaient notre histoire. C’était loin d’être parfait ni tout beau. En-tout-cas, ça m’a valu d’être envoyé à l’école militaire « Corps des cadets d'Omsk » pour mon état d’esprit patriotique d’une époque que je n’avais jamais connu, comme quoi la propagande et l’éducation nationale peut faire de sacrer chose au gosse. Ce jour-là, je dis au revoir à tous mes camarades de l’orphelinat. Je partais pour l’armée.

À partir de maintenant, c’était une autre histoire. En plus des cours théoriques classiques, il y avait la préparation pour devenir soldat. Autant de théorie que de pratique dans le domaine militaire et je ne vous parle pas de l’endoctrinement. On peut dire que j’aimais mon pays, j’étais un petit patriote, par contre j’avais du répondant. Quand ce ne me plaisait pas, on le savait. Ce tempérament m’a donné le privilège de connaître ce qu’on appelle dans l’armée « le trou ». Une cellule de petite taille où tu as droit qu’a de l’eau et du pain sec pendant ta condamnation. C’était une expérience bonne à prendre, on va dire. Il a fallu du temps pour que cette sanction me pousse à faire preuve de maîtrise de soi et du tact. J’ai appris à exprimer ma colère da façon « politiquement correcte ». De temps en temps une petite injure, je dois l’avouer. J’ai passé l’équivalent du collège et lycée dans l’école militaire. C’était instructif et casse-pieds à la fois. Ils avaient organisé nos cours de façon qu’on avait des journées pures théorie et le lendemain pratique. Les séances de sport, les stands de tir pour le maniement des armes à feu, arme blanche, combat à mains nues, démontage et montage des différentes armes, entraînement tactique et stratégique, simulation d’attaque et de contre-attaque, défense de terrain, étude et analyse des différentes créatures existantes en plus de l’homme. Les formations étaient très généralisées. La stratégie était de nous transmettre de la connaissance et de le faire appliquer à travers des exercices et simulations sur le terrain. Il y avait des moments infernaux, autant avec les formateurs que les camarades de classe.  
       
Ma libération de ce cursus a été à mes 21 ans. J’avais réussi mes épreuves, mes classes avec une moyenne correcte. Je ne faisais pas partie des trois premiers et j’étais loin des derniers. J’étais un bon élément au sale caractère. Je dis oui à l’autorité, mais laissé moi tranquille. Quand un ordre est con, c’est con, ce n’est pas autre chose. Vous savez, les divergences d’option, c’est quelque chose. Ce n’est qu’un détail. Me voilà dans le monde du travail à partir de maintenant. Un homme de terrain. Le pays n’était pas en guerre, les conflits frontaliers inexistants et les conflits lointains n’avaient pas besoin de notre présence à priori. Nous étions donc déployés à travers le pays en surveillance et maintien de l’ordre en assistance des policiers. C’est à partir de ce moment là où j’ai pu constater la dangerosité des non-humains. Nous nous sommes trouvés face à des individus isolés qui nous ont posé quelques problèmes. Je peux vous dire que certaines interventions et arrestation n’étaient pas belles à voir. Le pire, c’est quand on se retrouvait face à des gangs ou organisation criminelle. Je ne pouvais pas y croire. On a eu droit à des avant-goûts de champs de bataille. J’ai connu la peur, la détresse, la colère, la haine, le désespoir, la peine, la joie, le plaisir, le deuil. Toutes ces sensations fortes, ces peines n'ont fait que durcir mon cœur. La peur se transformait en colère. Le désespoir en force. L’inconvénient, c’était le manque de jugement, ma mise en danger. Un camarade à terre, je ne pouvais pas le laisser à terre voyant un de ces suceurs de sang ou une de ces bêtes féroces s’en approcher. Sachez que courir en hurlant et tirant n’augmente en aucun cas votre réussite. Et encore, en extérieur ça va. Tu as de la place, une visibilité correcte, tu vois généralement l’ennemi venir vers toi, surtout dans les grandes plaines enneigées de Sibérie. Mais quand on devait intervenir dans des bâtiments. Quelle angoisse ! Quel enfer ! Et vous savez qui était le con à être en première ligne ? Moi ! Vous allez me dire, oui et après ? Ça change quoi ? Ce qui change, c’est quand tu es dans un bâtiment, que l’ennemi peut surgir à chaque couloir, à chaque porte, à chaque mur et plafond !

Pendant une intervention dans une ville abandonnée, mon équipe devait intervenir dans un bâtiment, car on n'aurait pas vu un, ni deux, mais trois suspects y pénétrer. On nous dit d’y allait et de les déloger. Ce jour-là, nous étions dix gars ! À peu près équipé et entraîné. Dix qui rentrent, trois qui sortent. Un cauchemar. Le bâtiment était en ruine. Il faisait sombre, un vent de folie qui sifflait à travers les différentes ouvertures et orifices du bâtiment. Je rentre en tête de ligne, on a dû parcourir dix mètres dans l'établissement. On était monté au premier étage après avoir fouillé toutes les pièces du rez-de-chaussée. On se croisait le regard entre nous et on pouvait lire dans nos regards qu’on espérait que nos trois suspects s’étaient barrés ailleurs. On était partagé entre espoir et crainte. On avait atteint le deuxième étage. On commençait à fouiller les pièces. Pour chaque pièce, une personne à droite et à gauche et un dernier en face. J’étais souvent en face. Je devais enfoncer la porte, reculer et les deux autres observer et entrer dans la pièce pour sécurisation. On pensait que si nous devions être attaqués, c’était à ce moment-là. Mais en fait non. Nous avons été attaqués dans le couloir pendant notre déplacement. En moins d’une minute, nous avions perdu le contrôle de la situation. J’ai entendu comme un craquement puis des hurlements. En me retournant, nous avions un camarade qui a été attrapé par une ouverture au plafond, la moitié du corps était passée au troisième étage, hurlant avant d’entendre un bruit d’os cassé et les jambes ne bougeant plus et du sang coulé le long de son corps. Un deuxième camarade a été attrapé à travers la cloison et je vis sa tête faire un 360° et son corps s’écrouler voyant une paire de mains rentrer à nouveau à travers la cloison trouée. Le troisième camarade a traversé le plancher et s’est retrouvé au rez-de-chaussée et il avait quelque chose au coup. Grâce à une formation de grande qualité, un entraînement de maître, j’ai pu signaler, sur une supposition, que c’était des vampires et feux à volonté. Je ne vais pas vous cacher que le mot fiasco a eu sa place ici. À ce moment-là, on était plus que sept. Le temps qu’on ne réagisse, plus que quatre. Vous savez, on m’a toujours dit que c’est dans la douleur, la sueur et le sang qu’on apprend le mieux et que l’expérience de la vie est le meilleur formateur. J’ai appris à ce jour que les vampires et moi n’allions jamais être de bons amis et qu’il faut éviter le corps-à-corps avec eux. Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais j’ai fini projeté à travers une vitre du premier étage, atterris sur le dos dans de la neige poudreuse, ma baïonnette plantée en haut en gauche de mon torse à côté de l’épaule. Notre commandant de terrain se tenait au loin et voyant à travers sa jumelle et nos hurlements à travers la radio, il ordonna le bombardement du bâtiment à l’aide de canons d’artillerie qu’on devait livrer en chemin après l’intervention. Je me suis réveillé dans un lit d’hôpital dans une base militaire. La dernière chose que je me rappelle, c’était d’entendre les hurlements de mes camarades, le bruit au loin de l’artillerie, le sifflement d’un obus et une explosion. Bilan de l’opération. Nous avons dix morts, dont sept soldats et trois vampires. Il faut croire que l’artillerie et l’effondrement du bâtiment a eu raison d’eux.

Ce petit récit n’est qu’un parmi tant d’autres. J’ai été en contact avec tout ce qui pouvait exister, gentil comme méchant, mais j’avoue avoir développé une méfiance premium pour nos amis vampires. Je m’en suis pris des coups, j’en ai fait des choses pour le bien du pays. Oui, pas mal de choses. Ai-je fait des choses pouvant être considérées comme criminel ? À l’encontre d’un certain nombre de traités internationaux ? Très bonne question, je vais prendre mon droit de garder le silence et jusqu’à preuve du contraire, je suis innocent de quoi que ce soit.

À force de mission, de réussite et d’échec. De coup et de séjour à l’hôpital. De me voir capable de faire des choses dont je ne me pensais pas capable avant avec si peu de ressenti. Je me suis dit qu’avec sept années d’école militaire et mes six années de service militaire actif dans le pays, il serait temps de changer de service. J’ai fait une demande de transfert dans un service de police. Il est vrai que j’allais perdre mon statut de soldat et devenir civile, mais le changement ne pouvait pas me faire de mal. Après être passée devant une commission de police et une lettre de recommandation de mes supérieurs de l’armée, ma demande a été validée. Fini pour moi ces missions d’interventions de niveau militaire. Je me suis dit que j’allais moins fréquenter les hôpitaux, de meilleure condition de travail. C’est cela oui, dans tes rêves. À vingt-sept ans, j’ai commencé mon nouveau travail dans la police. Au vu de mes antécédents de carrière dans l’armée de terre, j’ai eu droit au poste d’inspecteur. C’était différent sur certains points. Il y avait plus d’administration, on avait moins d’équipement et d’armement, du moins pas de modèle lourd. Côté intervention, on ne s’ennuyait pas. Entre les contrôles, les perquisitions, les enquêtes, les interventions musclées, on ne s’ennuyait pas. Je ne vous parle pas des interrogatoires. Je suis déjà passé à travers les vitres, car le suspect était mal menotté. Je connais trop bien l’expression « envoyer valser quelqu’un », au sens propre du terme.

Mon service s’occupait des gangs et des syndicats du crime avec leur petit trafiquent. On avait droit à un peu de tout, de la drogue, des armes, de la prostitution, trafique d’organe et des vertes et des pas mûrs. Le danger était du même niveau que dans l’armée et aussi épique, sauf que c’est plus en zone urbaine que rural. Les perquisitions, les interrogatoires, les fusillades, les petites vengeances avec certains criminels sont devenues des activités de tous les jours. Un petit train-train quotidien s’installa. Qu’est-ce qu’on a bien rigolé par moments.

Je vais vous raconter une partie d’une de mes enquêtes. Nous surveillons un petit faussaire qui nous posait quelques problèmes dans nos enquêtes. Disons que dès que nous allions passer à l’étape arrestation d’un suspect après avoir préparé un dossier en béton pour lui assurer un séjour dans une de nos prisons au fin fond de la Sibérie, dans le meilleur des cas, le gars disparaissait dans la nature. Pouf ! Disparu. C’était très frustrant et ce n’était pas la première fois. Nous avons donc utilisé la méthode classique dans ce cas-là. Trouver ses proches et connaissances, leur offrir un petit voyage dans le coffre de la voiture. On allait dans une décharge, au bord d’une falaise, dans un chantier, un endroit sympa pour discuter. Le suspect ? Il était ficelé et un sac en tissu sur la tête. Pourquoi ? Vous croyez que c’est coopératif ça ? Alors rassurez-vous. C’était plus de l’intimidation que de la brutalité policière et on ne faisait pas aux enfants, on n’est pas des monstres. On évite aussi les blessures trop flagrantes, il faut les justifier après. On dit chez nous que ce n’est pas avec un saint qu’on attrape un pourri. Et donc, à force de balade de voiture, de peur, de secouer les puces, on a fini par avoir un début de réponse sur la disparition de nos suspects. Ils allaient tous voir un individu qui se faisait appeler « Le FAUSSAIRE ». Le surnom du gars, c’est son activité. Si certains criminels pouvaient prendre exemple sur lui, ça nous faciliterait le travail de savoir ce qu’on a en face de nous.

Donc nous avons demandé où le trouver, où à quoi il ressemblait. Nous n’avons pas eu de réponse satisfaisante. On l’a emmené au poste et ce qui se passe au poste… Reste au poste. La vie d’inspecteur en Russie, ce n’est pas de tout repos. Nous avons contacté nos informateurs dans le milieu et attendu. Notre enquête a duré deux ans avant que nous ne puissions enfin avoir une opportunité de trouver notre faussaire. Un de nos collateurs de criminels allait se faire passer pour un client et aller voir notre suspect pour de faux papiers pour quitter le pays. Nous étions légèrement nerveux, on avait perdu trop de temps avec ces bêtises. Le lieu du rendez-vous était, bien sûr, dans les bas-fonds d’un petit quartier tenu par deux gangs rivaux qui se mettaient dans la tronche très régulièrement. Vous savez, les vampires et les lycans, c’est increvable. Notre cible serait un démon. Une petite racaille qu’on apprécie. Il allait falloir faire vite, nous ne sommes pas appréciés dans cette zone. Nous avions pris une voiture banalisée légèrement renforcée. Nous avions notre kevlar, notre arme de service et une cagoule dans notre poche. Nous étions à une bonne distance de la cible, on devait attendre le signal. La ruelle était plutôt étroite, deux voitures ne pouvaient pas se croiser.

Le moment de vérité était arrivé. Nous avons vu notre collaborateur sortir d’un coin de rue, suivi de notre faussaire. Ni une ni deux, je démarre le moteur et le pied sur le plancher. Direction, la cible. Notre allié s’était collé au mur pour éviter de se faire rentrer dedans, par contre notre invité lui, ne s’attendait pas que je le percute volontairement. Nous avions eu de la chance, il n’était pas passé sous la voiture mais il avait sauté et s’était pris le pare-brise. À ce moment-là, course contre la montre. Je sors du côté conducteur armer d’un taser et je chope notre démon avant de l'électrocuter, au même moment, mon partenaire était sorti côté passager pour aller ouvrir le coffre et venir m’aider à porter notre faussaire, une fois dans le coffre un autre coup de taser pour être sûr, on claque le coffre et on s'était cassé avant de se faire tirer dessus par les gars du coin. Nous avions réussi à rejoindre le poste sans trop de problèmes. Nous avions une cinquantaine d'impacts de balle sur la voiture et les vitres. Une petite course poursuite dans le quartier qui s’était terminée dès que nous étions sortis de la zone.

Une fois au poste de police, notre ami le faussaire a eu droit à une visite médicale pour nous assurer qu‘il n’allait pas nous claquer entre les doigts. Ça allait, pas de fracture, mais de sacrée contusion. Après validation du médecin du travail, on l’a emmenée dans une salle d’interrogatoire. Il y avait une sacrée ambiance, car ce que je ne vous ai pas dit, c’est que cette ordure aurait aidé un tueur de policier à quitter le pays. Il faut savoir qu’on est vachement rancunier dans ce genre de cas. Nous devions savoir où notre tueur de flic ainsi que tous les autres sont partis, car il leur fournissait de faux papiers d’identité et de passe port, mais des billets de train et d’avions sous une demande pour éviter que les rechercher ne se balade de trop et se fasse repérer. Donc, forcément, pour certains, il savait où ils étaient partis et on savait bien que c’était un aller simple. Qu’est-ce qu’il avait la grande gueule celui-là. Je peux te dire qu’il a arrêté de faire son malin quand on a coupé la caméra de la salle d’interrogatoire et qu’on a montré que dans la pièce d’à côté, derrière la vitre, il n’y avait personne. Deux policiers énervés et un suspect menotté et attaché à son siège. Nous avions plusieurs solutions pour l’encourager à coopérer, mais nous ne devions pas laisser trop de traces de peur que ça ne se retourne contre nous. Alors on l’a un peu mal mené, on l’a travaillé au corps, presque brisé les doigts de la main. Et pour finir quelques coups de taser et on appuyait sur ces blessures. Disons que c’était long, mais à force de travail et une perquisition dans les règles chez lui. Nous avons pu avoir un début de piste sur la disparition de nos chers criminels. Beaucoup de mondes sont partis aux USA, à Los Angeles. Les enfoirés de déserteur et ça s’en vont chez les ricains, pays de la liberté, c’est cela oui, pays du crime à priori.

Ça y est, on est dans de l'internationaux. Donc nous avons fait une demande d’avis de recherche internationale. Nous avons aussi contacté l’embrasseur américain posté en Russie pour discuter d’une possible coopération des forces de l’ordre pour les criminels recherché par les deux pays dans les pays respectifs. En gros, un accord pour permettre le venu de policier russe en Amérique pour attraper des criminelles recherchées en Russie et l’inverse. Des policiers américains pouvant venir en Russie pour attraper des criminels recherchés chez eux. Bien sûr sous la surveillance de chacun. Un accord de principe a été validé et est soumis à une période de test pour voir la viabilité de cet accord. En gros, on va envoyer une seule personne de chaque pays pour aller chez l’autre et voir le résultat et l’efficacité. Si les résultats sont bons, on pourra envisager d’envoyer plus de monde. J’ai déposé ma candidature et après un entretien avec mes supérieurs et une délégation de l’ambassade américaine, je fus pris. Par contre, on m’a bien fait comprendre qu’il fallait bien prendre en considération que même si le travail en soi est le même, les méthodes et règles peuvent être très différentes. On m’a pointé du doigt comme quoi, la violence policière peut être aperçue différemment et que les limites ne sont pas les mêmes. D’accord, c’est clair, je dois lever le pied.

 Je suis Boris Joukov, devenu enquêteur international à mes trente ans. Je suis dans un avion en direction des USA où à Los Angeles, on m’attend. Je dois rejoindre un service qui s’appelle l’Ordre. C’est avec eux que je vais travailler à présent en tant que simple milice volontaire étranger et mettre à leur service mes compétences afin de retrouver certaines personnes de chez nous ayant fui ici. Qui sait ? Avec le temps et si je fais mes preuves, je pourrais monter dans la hiérarchie de l’Ordre.      


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Dernière édition par Boris Joukov le Mar 5 Avr - 11:56, édité 4 fois
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Nous venons te correctationner !



Coucou ! C'est le correcteur :D

Déjà bravo pour ta fiche ! Elle est presque nickel ! On aimerait juste deux petites modifications.
D'abord, nous aimerions que tu nous notes ce que tu penses dans les autres races dans l' "avis sur le monde extérieur".

Ensuite, et enfin, que tu nous ajoutes en fin d'histoire ce que tu comptes faire dans la milice. Es-tu "simple" milicien, capitaine de secteur au vu de ton expérience ? A toi de nous dire !

Et une fois que cela sera fait... On te validera !

Bon courage et n'hésite pas si tu as des questions !
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Bonsoir et merci à vous pour la correction !

J'ai donc édité la fiche et j'ai rajouté un paragraphe dans la partie "AVIS SUR LE MONDE EXTÉRIEUR" pour donner mon avis sur les non-humains et modifier le dernier paragraphe de mon histoire pour le poste que j'aimerais avoir au sein de l'ordre.
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Bienvenue à Los Angeles !



You did it ! Comme ils disent à L.A. ! Bravo ! Ta fiche est officiellement validée et tu as fait là une grande partie du chemin !
Nous t'avons d'ores et déjà installé une partie rien que pour toi, où tu pourras laisser libre court à ton imagination. Mets y ce que tu veux concernant ton personnage, c'est ta partie !

Mais avant de RP ou de poster une demande de RP, voici quelques petites choses à accomplir afin que tu sois pleinement inscrit dans les registres de Los Angeles :

- Recenser ton prénom et ton nom
- Recenser ton avatar
- Remplir ton profil afin qu'il soit complet

Pour ta demande de logement, il te faudra attendre 100$ sur ton personnage pour faire ta achat en boutique avant de faire ta demande !

Ces choses faites, tu seras libre de faire ce que bon te semble ici ! N'oublies pas qu'il existe une section de recherche de liens où tu pourras poster tes liens recherchés.

Bon courage et bon RP parmi nous !
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